En1529, une paix précaire (dite Paix des Dames) négociée par Louise de Savoie représentant le roi de France et Marguerite d'Autriche pour l'empereur est signée à Cambrai. Menaces sur l'Empire Lors de chacun des
Le royaume de France est une monarchie absolue de droits divin qui est dirigĂ© par un souverain sacrĂ© qui est considĂ©rĂ© comme lieutenant de Dieu sur Terre. Il tient son autoritĂ© directement de Dieu. Mais il n'a pas pour autant tous les pouvoirs mais c'est lui qui est le seul responsable et c'est lui qui dĂ©cide aprĂšs avoir Ă©coutĂ© ses conseillers. I La puissance royale A La souverainetĂ© du roi La souverainetĂ© du roi est dĂ©finit par de nombreux ouvrages de l'Ă©poque Ă©crit par des hommes de loi ou des juristes consultes. Le roi de France est d'abord un souverain sacrĂ© qui fait le serment de dĂ©fendre l'Eglise et de respecter les lois divines. Il porte le titre de Roi TrĂšs ChrĂ©tien qui le distingue des autres rois. Le sacre, pour les contemporains donne des pouvoirs surnaturels notamment celui de guĂ©rir une maladie les Ă©crouelles. Il touche des malades et dit LE ROI TE TOUCHE, DIEU TE GUERIT. Le roi de France est comme au Moyen Age, un seigneur. Il possĂšde des seigneuries, des domaines, des terres. Il possĂšde un certain nombre de droits taxes qui son prĂ©levĂ© sur ses terres. 1692 Louis XIV se proclama seigneur direct Ă  toutes les terres du royaume. Le roi de France considĂšre qu'il n'a au-dessus de lui aucune autoritĂ© terrestre car il tient son pouvoir directement de Dieu Le roi de France est empereur en son royaume » le roi de France ne reconnait pas l'autoritĂ© de l'empereur St Empire. Le roi de France ne reconnait pas la supĂ©rioritĂ© du Pape et notamment il ne reconnait pas au Pape le droit de d'ingĂ©rer dans les affaires du royaume et de monter le peuple contre le pouvoir royal. Il reconnait par contre les lois divines et les lois fondamentales du royaume constitution coutumiĂšre. Ex Louis XIV a voulu enfreindre ces lois fondamentales, il les a fait modifier pour permettre Ă  ses bĂątards lĂ©gitimĂ©s de lui succĂ©der. Mais dĂšs sa mort, ces lois ont Ă©tĂ© annulĂ©es car mĂȘme s'il Ă©tait un roi absolu, il ne l'Ă©tait que durant sa vie. B Les pouvoirs du roi. Les pouvoirs du roi sont trĂšs Ă©tendus, ils ont Ă©tĂ© Ă©crit, dĂ©finis par les juristes consultes comme par exemple Loyseau, Cardin le Bret. En le dĂ©finissant, ils ont Ă©tĂ© dĂ©limitĂ©s. 1er pouvoir le pouvoir de faire la loi, ces lois portent plusieurs noms Ă©dits concerne une matiĂšre prĂ©cise ex l'Edit de Nantes pratique de la religion rĂ©formĂ©e. Les ordonnances lois plus longues que les Ă©dits mais qui a un objet prĂ©cis ex les ordonnances des eaux et forĂȘts Les dĂ©clarations royales texte assez court qui a pour but de prĂ©ciser l'interprĂ©tation d'un Ă©dit ou d'une ordonnance antĂ©rieure. = lettres patentes lettres publics, ouvertes pour ĂȘtre appliquĂ©s ces lettres patentes doivent ĂȘtre enregistrĂ© par les cours souveraines ce qui fait participer le parlement. Il peut donner des conseils, critiquĂ© droit de remontrance. Mais le roi a toujours le dernier mot. 2Ăšme pouvoir le roi dirige la diplomatie, il arbitre la paix et la guerre dans la mesure oĂč il le peut. 3Ăšme pouvoir le roi est le seul Ă  pouvoir battre monnaie. 1693 Louis XIV met un terme aux autres monnaies du royaume seigneurs ont l'interdiction de frapper monnaie. Pouvoir monĂ©taire Le roi fixe l'aloi pourcentage de mĂ©tal prĂ©cieux qui a dans une piĂšce. Il fixe la taille, nombre de piĂšces que l'on peut tailler dans un lingot. Il fixe le rapport entre la monnaie de compte livre, denier, sol et la monnaie rĂ©elle les Ă©cus. 4Ăšme pouvoir le roi a le droit de crĂ©er des offices pour l'aider Ă  remplir ses taches. Le roi peut crĂ©er des nobles soit en donnant des lettres de noblesse Ă  quelqu'un de mĂ©ritant dans quelque cas c'est gratuit. 5Ăšme pouvoir le roi a le pouvoir de rendre la justice. Toute la justice en France est rendue au nom du roi. Mais il y a deux formes de justice la justice dĂ©lĂ©guĂ©e juges et la justice retenue faĂźte par le roi en personne. 6Ăšme pouvoir le pouvoir de lever l'impĂŽt, de faire payer des impĂŽts. Beaucoup considĂšrent que le roi Ă©tant un seigneur, doit vivre uniquement de ses domaines. = pouvoir sujet Ă  discussion. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiII le gouvernement par conseil A Origine et principe des conseils. Le roi gouverne entourĂ© de conseillers hĂ©ritage mĂ©diĂ©val notamment du devoir des vassaux de conseiller le roi, le chef. Au Moyen-Ăąge, le roi est entourĂ© de conseillers le conseil du roi curia regis. Au fil du temps, le conseil s'est agrandi car les taches sont de plus en plus nombreuses. Les membres du conseil de roi se sont rĂ©unis a part, ils ont finis par crĂ©er de nouvelles constitutions parlement. Ceux qui s'occupaient des finances la chambre des comptes. Mais ils portent toujours le nom de conseiller du roi. Reste auprĂšs du roi, le conseil au sens strict. A l'origine, il y avait les proches parents du roi les conseillers nĂ©s. Mais ils ne sont pas toujours compĂ©tents. Alors petit Ă  petit le roi s'est fait aidĂ© par des personnes un peu plus spĂ©cialisĂ©es, c'est lui qui les choisit les conseillers faits. En gĂ©nĂ©ral, quand les affaires vont bien, il Ă©carte les conseillers nĂ©s et favorise les conseillers faits mais inversement lorsque les affaires vont mal. Louis XIV favorise les conseillers faits. 1691 le dauphin est admis aux conseils. Les spĂ©cialistes des finances prennent plus de poids Ă  cause des guerres. B Les conseils sous Louis XIV Il n'y a qu'un seul conseil le conseil du roi. Les dĂ©cisions du conseil sont des arrĂȘts. Gouverner devient de plus en plus complexe, le conseil se rĂ©unit souvent, les sĂ©ances sont spĂ©cialisĂ©s. En fonction des jours et des thĂšmes abordĂ©s les sĂ©ances prennent des noms diffĂ©rents. 1er nom Le conseil d'en haut Ă  partir de 1643 Il siĂšge au 1er Ă©tage du chĂąteau des appartements du roi. Conseil plus important. Il traite de la guerre. Les membres sont peu nombreux 3-4 personnes Ministre d'Etat. Ils sont appelĂ©s au Conseil par lettre Ă  chaque fois ou oralement par un huissier. Mais on reste Ministre d'Etat jusqu' Ă  sa mort. 1709 une demi-douzaine de personnes 2Ăšme nom Le conseil des dĂ©pĂȘches, fondĂ© par Mazarin au moment de la Fronde. Conseil dans lequel on lit la correspondance administrative et on prĂ©pare les rĂ©ponses. D'une demi-douzaine Ă  une dizaine de personnes dont les Ministres d'Etat. 3Ăšme nom Le conseil royal des Finances conseil thĂ©orique prĂ©sidĂ© par un chez qui n'a aucun pouvoir. Il ne sert Ă  rien. Dans la rĂ©alitĂ©, le roi traite des affaires financiĂšres avec le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des finances. 4Ăšme nom Le conseil royal du commerce 1664 crĂ©er Ă  l'initiative de Colbert et disparait en 1676 et rĂ©apparait en 1701. 5Ăšme nom Le conseil de conscience But conseiller le roi sur le choix des Ă©vĂȘques 2 personnes le roi et son confesseur surnommĂ© le ministre de la feuille. Le confesseur est un jĂ©suite. Ex PĂšre François de La Chaise 1674-1709 Michel le Tellier 1709-1715 6Ăšme nom Le conseil d'Etat privĂ© Ou Le conseil des partis Conseil technique qui rĂ©unit des conseillers d'Etat. Louis XIV y alla trĂšs peu Louis XV 2-3 fois. Mais si on s'y fait remarquer, on peut ĂȘtre nommĂ© intendant. III Les ministres et grands serviteurs de la couronne A Le chancelier Le chancelier est le grand officier de la couronne. Il est le symbole de la pĂ©rennitĂ© de la justice marquĂ© par le fait que le chancelier ne porte jamais le deuil du roi. Il est le prĂ©sident nĂ© de tous les tribunaux. Il est le chef des universitĂ©s, chef des acadĂ©mies
 Il est inamovible, quand le roi, l'a dĂ©signĂ© chancelier il le reste jusqu'Ă  sa mort. Le nouveau roi ne peut pas le changer. Le chancelier a la garde des sceaux. Il a autour de son cou, une clef du coffre des sceaux. Si le roi ne s'entend pas avec le chancelier, il peut lui retirer la garde des sceaux ou il le confit Ă  un garde des sceaux. Le chancelier perd du pouvoir et du prestige sous Louis XIV. Il perd le contrĂŽle du domaine royal, il perd le contrĂŽle des eaux et des forĂȘts. Il perd la nomination des intendants de province. Tout ceci au profit du contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des finances. B Le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances Au dĂ©but du rĂšgne, les finances relevĂ©s de 1 ou 2 surintendants gĂ©nĂ©raux des finances. Mais Ă  la mort de Mazarin, Nicolas Fouquet est disgraciĂ© en 1661 dĂ©noncĂ© par Colbert. Colbert assure la fonction mais en octobre 1665 reforme institution pour voir apparaitre un nouveau titre le contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances Colbert 1665-1683. Le dernier contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des Finances est Nicolas DemarĂȘt 1708-1715. Le contrĂŽleur s'occupe de la monnaie, des impĂŽts, des commerces intĂ©rieurs et extĂ©rieurs, des eaux et des forĂȘts,
 beaucoup de travail. C Les secrĂ©taires d'Etat Leur origine remonte Ă  Henri II 1547. Au dĂ©part, c'est ceux Ă  qui ont peut confier des secrets, proches collaborateurs du roi. Mais depuis 1547, la fonction Ă  Ă©voluer car gouverner devient de plus en plus complexe donc peu Ă  peu spĂ©cialisation des taches. GĂ©nĂ©ralement y a quatre secrĂ©tariats d'Etat qui se rĂ©partissent un certain nombre de domaines la guerre, la marine, les affaires Ă©trangĂšres, la maison du roi, les affaires de la RPR religion prĂ©tendue rĂ©formĂ©e
 Il peut y avoir cumul des fonctions donc des pouvoirs. Ex Colbert Ă©tait en plus secrĂ©taire d'Etat de la marine Ă  la maison du roi. Le dernier chancelier Daniel François Veysin a Ă©tĂ© chancelier 1714-1777 et secrĂ©taire d'Etat Ă  la guerre de 1709 Ă  1716. Chacun des 4 secrĂ©taires d'Etat a en charge une partie du royaume, par exemple rĂ©gion frontaliĂšre Est secrĂ©taire de la Guerre Guyenne Bordeaux secrĂ©taire d'Etat des affaires Ă©trangĂšres. Le gouvernement absolutiste, la monarchie absolue est censĂ©e avoir atteint son apogĂ©e sous Louis XIV. ApogĂ©e des conseils, des grands commis de l'Etat qui fondent des dynasties la charge de Ministre se transmet de pĂšre en fils Colbert, Le Tellier, les PhĂ©lyppeaux. Mais si les conseillers faits l'emportent sous Louis XIV, les conseillers nĂ©s attendent leur heure, en 1715 lors de la minoritĂ© du roi.

Elleest toujours en cavale. Premier tournoi du Royaume pour trouver le champion des terres, Carrius d’Orlaloy en ressort vainqueur. Il porte encore le titre Ă  ce jour. Vax Em’Louki, sorcier du Roi s’est aventurĂ© dans la vallĂ©e des murmures et y est restĂ© coincĂ©. Une expĂ©dition a Ă©tĂ© organisĂ©e pour le sauver, bien que cette

1. La sorte de C coutumiĂšres = les lois fondamentales du royaume au XVIeav. XIVe s deux rĂšgles de la couronne - hĂ©rĂ©ditĂ©- primogĂ©niturese distingue trĂšs peu du droit commun fĂ©odalXIVe s statut de la couronne = rĂšgles diffĂ©rentes = dĂ©volution + domaine de la couronne => trois nouveaux ppe = masculinitĂ©, indisponibilitĂ©, inaliĂ©nabilitĂ©. 2. expressions de la distinction *masculinitĂ© exclusion des filles 1316 roi pas de graçon, on Ă©vince sa fille Jeanne et Philippe V, frĂšre du roi, devient roi de France. 1317 convoque assemblĂ©e qui affirme qu'aucune femme succĂšdera Ă  la couronne de France. exclusion des mĂąles par les femmes rejet d'Édouard III d'Angleterre au profit de Philippe de Valois. MasculinitĂ© justifier par trois arguments - saint 2 passages de l'Ă©vangiles- juridique fille tjrs Ă©cartĂ© au profit du frĂšre Ex Philippe Auguste + une femme n'a jamais reigner = invocation de la coutume- argument historique de Jean Vignay 1340, exclusion des femme existait depuis trĂšs longtemps, avec la loi salique terra salica comme le montre Robert Lescot 1368, puis repris par Jean de Montreuil 1410 dans son TraitĂ©.* indisponibilitĂ© Origine TratĂ© de Troyes conclut Guerre de 100 ans 1420 => Charles VI donne couronne Ă  Henri V d'Angleterre. Cdpt, rĂšgle d'indisponibilitĂ© appuyer par - la coutume jamais un roi F a exhĂ©rĂ©dĂ© son Jean de Vermeille 1419 summa divisio bien humain/bien divins => biens humains = biens patrimoniaux + biens extrapatrimoniaux => 2 rĂ©gimes successoraux pas de succession hĂ©rĂ©ditaire pour bien extrapatrimoniaux, modalitĂ©s fixĂ©es par la n'hĂ©rite pas de la fonction royale, on succĂšde = mĂȘme systĂšme que pour biens patrimoniaux => succession prend apparence d'une succession hĂ©rĂ©ditaire, dite "quasi hĂ©rĂ©ditaire". IdĂ©e repris ensuite par Jean JuvĂ©nale des Ursaints. *InaliĂ©nabilitĂ© du domaine AprĂšs reconstruction du domaine, nĂ©cessaire de rendre inaliĂ©nable le domaine pour Ă©viter une nouvelle dislocation. + aliĂ©nabilitĂ© nĂ©cessaire pour gestion du royaume + rĂ©compense des seigneurs. => ppe inaliĂ©nabilitĂ© doit pas ĂȘ trop strict. Augmentation des dĂ©penses publiques sous PLB 2nd moitiĂ© XIIIe => roi avait besoin de plus d'argent => aliĂ©nation des domaines => trĂšs de GuniĂšre affirme inaliĂ©nabilitĂ© du domaine = roi est usufruitier du domaine. => pas propriĂ©taire => peut pas l'aliĂ©ner => interdictino de toute aliĂ©nation par ordonnance de Charles fils Jean II en 1357 => impossibilitĂ© d'aliĂ©nation avec traitĂ© de Bretigny 1360. => serment d'inaliĂ©nabilitĂ© du roi => seule couronne est siĂšge de la souverainetĂ©, seule propriĂ©taire du domaine. => protection de la couronne passe par des droits opposables Ă  tous, mĂȘme au roi. Lorganisation du Royaume GourmantchĂ©. A la mort de DIABA LOMPO, en 1248, son deuxiĂšme fils TIDARPO lui succĂšde. Le fils aĂźnĂ©, ayant les cheveux rouges, refuse la succession royale. Il part vers l’Est et s’installe aux pieds des falaises de MADJOARI. Il crĂ©e ainsi la chefferie la plus ancienne du royaume gourmantchĂ©. Pour continuer les symboles dans les chĂąteaux clic! j’ai voulu aller du cĂŽtĂ© des reprĂ©sentations auprĂšs de rois. Voici le premier sur Louis XIV et un sur NapolĂ©on suivra. Cette peinture si connue du roi Louis XIV a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e en 1701 par Hyacinthe Rigaud ! Les symboles et les significations Les Regalia sont les objets symboliques de la monarchie française, en voici quelques significations avec ce portrait. Estrade Nous voyons Le roi sur une estrade, il au dessus des hommes. normal il est le roi L’épĂ©e de France Elle symbolise la puissance militaire oĂč le roi est le chef des armĂ©es. Il est dĂ©cisionnaire dans tout ce qui concerne le militaire. Sur le tableau l’épĂ©e est la rĂ©plique de celle de Charlemagne Elle s’appelle mĂȘme Joyeuse » Le Sceptre Pour le pouvoir de commander et de rĂ©gner sur ses sujets. Le roi doit guider son pays. La couronne Elle renvoie au couronnement de l’empereur Charlemagne. Le roi est empereur sur son royaume ! Ce serait la couronne du roi Henri IV et sur ce tableau elle est posĂ©e sur un tabouret, le roi n’a pas besoin de la mettre, les sujets savent que le roi rĂšgne sur eux. La Main de Justice Juste Ă  cĂŽtĂ© de la couronne cette main de justice montre que la justice est une des qualitĂ© des rois. Elle marque aussi la religion et que le roi peut agir en qualitĂ© de reprĂ©sentant de Dieu sur terre. Le Costume de Sacre Le sacre Ă  la cathĂ©drale de Reims fait du Roi un “miles christi”, un soldat de Dieu. Il porte un manteau avec des fleurs de Lys, c’est l’emblĂšme des rois CapĂ©tiens les rois de France dont descend Louis XIV. La croix de l’ordre du Saint Esprit L’ordre du Saint-Esprit est un ordre de chevalerie fondĂ© par Henri III en 1579. Bien sur il y aurait encore beaucoup de choses Ă  dire sur tous ces symboles mais ce serait Ă  dĂ©velopper dans de futurs articles !

Plustard en Europe, on l’a appelĂ© « empereur ». L’idĂ©e est donc lĂ  : un empereur dirige plusieurs royaumes, qui s’obtiennent par la force. Un roi dirige un royaume, et le devient la plupart du temps lĂ©gitimement par hĂ©rĂ©ditĂ©. Si on suit ce principe, on comprend pourquoi NapolĂ©on a prĂ©fĂ©rĂ© le titre d’empereur Ă  celui de roi.

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15801598: Philippe Ier (rĂšgne en Espagne sous le nom de Philippe II. Son pĂšre n'est autre que Charles Quint.) 1598-1621: Philippe II . 1621-1640: Philippe III. En 1640, le royaume de Portugal est dirigĂ© par Philippe III, qui est Ă©galement roi d'Espagne sous le nom de Philippe IV. La guerre de Restauration (1640-1668) dĂ©trĂŽne Philippe III Cette rĂ©action n’avait pas attendu le coup d’éclat de la diĂšte de Roncaglia et s’inscrire dans le sillage extrĂȘmement glorieux du grand et vieil empereur Charlemagne dont l’empereur d’Allemagne se rĂ©clamait aussi De fait depuis la fin du XIĂšme siĂšcle, pour soutenir la revendication française Ă  l’auctoritas un mouvement Ă©tait nĂ© qui prĂ©tendait rattacher le royaume de France Ă  Charlemagne. Mouvement qui pouvait permettre Ă  la dynastie capĂ©tienne de revendiquer aussi l’auctoritas impĂ©riale. On retrouve l’abbĂ© Suger. C’est ainsi qu’à la fin du XIIĂšme, ceux que l’on appelle les dionysiens moines de l’abbaye de Saint Denis vont fabriquer une histoire de Charlemagne et de son neveu Rolland, attribuĂ©e d’ailleurs Ă  son compagnon lĂ©gendaire l’archevĂȘque Turpin. Cette histoire va prendre le nom de pseudo Turpin c’est un faux. Ce pseudo Turpin a Ă©tĂ© traduit, remaniĂ©, embelli par les moines au point que ce texte va finir par devenir la seule rĂ©fĂ©rence, la seule vĂ©ritable histoire de Charlemagne qui, dit le texte, a donnĂ© la France Ă  monseigneur Saint-Denis ». Pour parachever cette habile construction, qui avait pour but de rattacher la dynastie capĂ©tienne Ă  la dynastie carolingienne Huges Capet avait usurpĂ© la royautĂ©. Pour parachever ce montage, les moines vont fabriquer un faux diplĂŽme de donation de Charlemagne Ă  l’abbaye de Saint Denis. Dans cette donation pseudo-donation l’empereur Charlemagne dit tenir son royaume de Dieu par l’intermĂ©diaire de Saint-Denis et de Dieu et de toi Saint-Denis je tiens le Royaume de France ». Ce qui signifie au bas mot, allons Ă  l’essentiel sur les recherches les plus rĂ©centes en fait, que Charlemagne empereur est devenu le parton de la France, du Royaume de France que le Roi de France tient son Royaume de Dieu par l’intermĂ©diaire de Saint-Denis. Et c’est donc ainsi que les moines dont on a dit que Saint Denis Ă©tait l’atelier de Vulcain, les moines ont trĂšs certainement sous l’influence des conseillers du Roi de France, ont donnĂ© Les biographes de Philippe Auguste Ă  qui ils ont confĂ©rĂ© ces titres rappelle l’Auguste de l’empire romain vont mettre en avant ce rĂšgne extrĂȘmement long qui a durĂ© 43 annĂ©es. C’est celui de l’essor extrĂȘmement rapide d’un pouvoir. Les progrĂšs Ă©taient considĂ©rĂ©s dans une optique Ă  la fois chrĂ©tienne, nationale et impĂ©riale. Les lĂ©gistes du roi de France mais aussi les canonistes utilisent tout ce qui leur semble bon. La notion de propagande n’est pas quelque chose de rĂ©cent. C’est surtout dans la souverainetĂ© royale en plein dĂ©veloppement que les lĂ©gistes puisent des Ă©lĂ©ments autrement plus convaincants pour Ă©tayer leur doctrine. Leur doctrine c’est de dire qu’au fond le roi de France est Ă©gal Ă  l’empereur d’Allemagne. Il reprenne dan le droit fĂ©odal le roi ne doit tenir de personne. » Le roi ne tient de personne ni Ă  l’intĂ©rieur du royaume, ni Ă  l’extĂ©rieur du royaume. Par consĂ©quent il ne dĂ©pend pas non plus de l’empereur. L’argument fĂ©odal Ă©tait un petit peu lĂ©ger. Les lĂ©gistes vont puiser dans le droit romain tout l’arsenal nĂ©cessaire Ă  la royautĂ© française. Ils le font Ă  un moment oĂč ils affirment prĂ©cisĂ©ment que le roi de France ne saurait et ne pourrait relever d’aucune puissance temporelle. La preuve de cette insertion est dans l’imperium qui est Ă  Rome -> tous les pouvoirs, le pouvoir le plus puissant L’empereur avait cet imperium car c’était la loi qui le lui avait donnĂ©. Les lĂ©gistes français ont affirmĂ© qu’étant donnĂ© que la raison d’ĂȘtre de la juridiction royale est l’utilitĂ© publique, elle est donc de la mĂȘme qualitĂ© que la juridiction de l’empereur. Il y a identitĂ© de juridiction alors celle-ci attribue forcĂ©ment au roi de France un pouvoir de subsistance, de nature identique Ă  celui de l’empereur. Il est le princeps premier d’entre tous, mot qui a donnĂ© le mot prince. Jean Blanot a inventĂ© une formule le roi de France est princeps en son royaume. » Cette maxime veut dire que le pouvoir du roi de France fait Ă©chec Ă  la prĂ©tendue autoritĂ© universelle de l’empereur. Ce dernier qui d’ailleurs commence Ă  avoir de sĂ©rieux problĂšmes dans son empire doit considĂ©rer le roi capĂ©tien comme une puissance concurrente avec laquelle il doit dĂ©sormais compter. A la fin du XIIIĂšme siĂšcle un autre lĂ©giste, Guillaume Plaisans va mettre Ă  profit la faiblesse politique, crise politique que traverse l’empire allemand crise sĂ©vĂšre car il n’y avait plus d’empereur le roi de France est empereur en son royaume ». L’autoritĂ© impĂ©riale est transportĂ©e sur le roi de France qui dans son royaume, se considĂšre comme un empereur. Ce qui veut dire qu’à ce titre il jouit des mĂȘmes prĂ©rogatives que celles dĂ©volues Ă  l’empereur et en particulier il jouit de la mĂȘme auctoritas. Pour exprimer juridiquement son pouvoir souverain il utilise le droit romain, c’est Ă  partir de ce moment lĂ  que sera forgĂ©e cette formule des ordonnances royales tel est notre bon plaisir » au XVĂšme et XVIĂšme siĂšcles. Cette formule est reprise et arrangĂ©e Ă  la sauce royale française de celle du jurisconsulte Ulpien. Cette formule latine quod principi placuit legis habet vigoren » Ce qui plait au prince a force de loi ». Cela ne signifie pas que le roi puisse faire n’importe quoi. C’est le sens Ă  donner Ă  ce qu’il plait Quod principi placuit legis habet vigorem. Ce qui plaĂźt au prince a force de loi. Lien ave tel est NĂŽtre bon plaisir ». Origine du mot placet une requĂȘte. On peut dire qu’une opinion a l’air plus plaisant qu’une autre. Sens Ă  donner ce qui plait. Il n’y a pas un caractĂšre tyrannique. Peut ĂȘtre un peu arbitraire. On peut ajouter, est-ce que le plaisir est toujours plaisant ? Ne veut dire en aucun cas d’une affirmation d’un pouvoir absolu cela serait un Ă©norme contresens. Pas consĂ©quence le fameux quod placuit auquel se rĂ©fĂ©reront tous les rois de France, et encore plus au XVIIĂšme, ce quod placuit est ce que le Prince estime ĂȘtre bon non pas pour lui, mais pour la communautĂ© politique dont il a la charge. C’est ce bien qu’il doit chercher dans son gouvernement au nom de ce qu’on appelle le commun profit. Pour autant cette indĂ©pendance que les circonstances de l’empire d’Allemagne a favorisĂ© empereur d’Allemagne de plus en plus faible, se dĂ©lite en mille morceaux
 De plus comme l’empereur est Ă©lu, il y a des crises politiques Ă  chaque mort de l’empereur n’était qu’une des expressions de la souverainetĂ©, parce que fin XIIIĂšme et dĂ©but XIVĂšme il fallu aux capĂ©tiens se garder des prĂ©tentions Ă  la domination du monde exprimĂ©es par le pape, le pontifex maximus. Le danger Ă©tait grand. Car une chose est de s’attaquer Ă  l’empereur d’Allemagne, une autre est de s’attaquer au pontifex maximus. Car Ă  cette Ă©poque, le pape est le chef de la chrĂ©tientĂ© occidentale. Il est impĂ©ratif Ă  partir de 1054 de distinguer la chrĂ©tientĂ© en occident et la chrĂ©tientĂ© en orient, puisque 1054 est l’annĂ©e d’un schisme terme exclusivement rĂ©gulier sĂ©paration absolue et totale qui a donc divisĂ© les chrĂ©tiens entre ceux que l’on appelle les chrĂ©tiens orthodoxes othodoxos celui qui suit la droite ligne qui ne reconnaissent pas l’autoritĂ© du pape et les chrĂ©tiens d’occident qu’on appelle catholique catholiquos universel. Par consĂ©quent, Ă  partir de 1054 il y a une scission toujours actuelle entre les chrĂ©tiens orthodoxes qui considĂšrent qu’ils sont les seuls Ă  suivre la droite ligne des origines, et les chrĂ©tiens qui se sont installĂ©s en occident et qui ont une prĂ©tention Ă  l’universalitĂ©, et qui reconnaissent l’autoritĂ© du pape, le pontifex maximus, le successeur de Pierre. Evidemment, s’attaquer au pape quand on Roi de France et qu’on tient son pouvoir de Dieu, il faut avoir des Ă©paules. C’est ce qui va se passer.. Notez cet article

Ladynastie carolingienne, issue de l'union des maisons Pépinide et Arnulfing, se développa au cours du 8e siÚcle en Francie, suite à l'effondrement de son prédécesseur politique, la dynastie mérovingienne (458-751). Descendant de Clovis Ier, roi des Francs (r. de 481 à 511/513), le royaume mérovingien englobait la Bourgogne, la Gaule

La France connait de grands rois sous les premiers carolingiens Charlemagne, Louis Ier le Pieux et Charles II le Chauve. Puis, la puissance des rois baisse, notamment face Ă  la montĂ©e de la noblesse, dont les charges deviennent hĂ©rĂ©ditaires fin IXe /dĂ©but Xe siĂšcle. Le roi Louis II le BĂšgue, fils de Charles le Chauve, ne rĂšgne que deux ans, de 877 Ă  879. Entre autre, de par son bĂ©gaiement quasi-permanent et sa constitution maladive, il aura du mal Ă  s’imposer aux grands du royaume qui acquiĂšrent de plus en plus de titres, de charges et de terres. A sa mort, ses deux fils aĂźnĂ©s Louis III et Carloman II, lui succĂšdent, associĂ©s au pouvoir. Tous deux sont jeunes et doivent faire face aux invasions normandes. En 882, Louis III meurt de maladie Ă  l’ñge de 19 ans, laissant son frĂšre gouverner seul le royaume. Ce dernier dĂ©cĂšde en 884 d’une chute de cheval. Il n’avait que 20 ans. Louis III et Carloman, par Charles de Steuben 1837 Les deux frĂšres ne laissent, Ă  leur mort, ni Ă©pouse ni enfant. Dans la logique des choses, la couronne doit revenir Ă  leur demi-frĂšre Charles, nĂ© du second mariage de Louis II avec AdĂ©laĂŻde de Frioul. L’enfant en question est nĂ© posthume, en 879, et est trop jeune pour rĂ©gner. A aucun moment les grands du royaume n’envisagent une rĂ©gence il leur faut un roi. Ils vont alors chercher l’Empereur d’Occident, Charles le Gros, fils de Louis le Germanique. Ce dernier est donc le petit-fils de Louis Ier le Pieux, appartient Ă  la famille des carolingiens et est un cousin du petit Charles. En juin 885, Charles le Gros reçoit Ă  Ponthion la couronne de France et les serments de fidĂ©litĂ© des grands seigneurs. Le rĂšgne de Charles III le Gros est marquĂ©, comme les rĂšgnes prĂ©cĂ©dents, par les invasions normandes. Ces hommes qui prennent le nom de viking » dĂ©barquent de SuĂšde, de NorvĂšge et du Danemark. A la fin de l’annĂ©e, les normands arrivent Ă  Paris. Ils sont repoussĂ©s par le comte de Paris, Eudes, ĂągĂ© de 21 ans. Ce dernier demande alors de l’aide Ă  Charles le Gros qui n’arrive avec ses troupes qu’en octobre 886. PlutĂŽt que de se battre, Charles III le Gros prĂ©fĂšre acheter le dĂ©part de l’ennemi en versant un tribut de 7000 livres et lui donne l’autorisation d’aller en Bourgogne autant dire le droit de piller la rĂ©gion. Eudes et les parisiens refusent de s’associer Ă  ce marchĂ© honteux et dĂ©shonorant. Charles le Gros, fils de Louis le Germanique De toute Ă©vidence, le roi est incapable de faire preuve de courage et de dĂ©fendre le royaume de France qui lui a Ă©tĂ© offert. En novembre 887, Charles le Gros est dĂ©posĂ©. Il mourra de maladie seul et abandonnĂ© de tous en janvier 888, sans descendance. Pour certains, cet empereur ne fut jamais roi des francs, car il n’était pas digne de la couronne. Ainsi, il n’est pas rare de le voir sous l’appellation de Charles le Gros » plutĂŽt que Charles III le Gros ». Simple cousin carolingien de la lignĂ©e directe, il ne parvint pas Ă  s’imposer Ă  la France qu’il dĂ©nigra au profit de son empire germanique. Le rĂšgne de Charles le Gros marque un tournent dans l’histoire du rĂšgne des carolingiens pour la premiĂšre fois depuis sa crĂ©ation par PĂ©pin le Bref, c’est un cousin et non un fils de roi qui ceint la couronne. L’Histoire montrera que cette premiĂšre exception ne devait pas ĂȘtre la derniĂšre.
PhilippeAuguste est le premier roi à signer ses actes Rex Francia « Le roi est empereur en son royaume ». L'année suivante, les barons anglais, qui n'en peuvent plus de Jean sans Terre, le déposent et proposent la couronne d'Angleterre à Louis, fils et héritier de Philippe Auguste. Le prince débarque en Angleterre en mai 1216 mais Jean sans Terre a le
Le premier cas de contact europĂ©en avec la MĂ©soamĂ©rique concernait la citĂ©-État de Tenochtitlan. Le dirigeant de l’époque, Montezuma, a jouĂ© un rĂŽle important dans ce qui s’est passĂ© lorsque le chef espagnol Hernan Cortes est arrivĂ© sur les lieux avec ses conquistadors. La vie expansive — et finalement tragique — de Montezuma a servi d’exemple cruel de ce qui allait arriver Ă  tant d’autres habitants autochtones d’AmĂ©rique du Sud et d’AmĂ©rique du Nord. Mais que s’est-il passĂ© exactement? Quel est l’hĂ©ritage de Montezuma ? Quelle est la quantitĂ© exacte? En savoir plus ci-dessous. Le DeuxiĂšme de son nomDe toute façon, je suis responsableUn roi Sous un autre nomTempĂ©rament royalVous savez que j’ai l’air BienGarder propreLes Oncles obtiennent les premiers DibsVotez Pour Moi!Amour et MariageLumiĂšres vives, Grande ville Qu’Est-Ce Qu’Un Roi Pour Un Dieu ?! »Monty militairePĂšre fertileLe DĂ©but de la FinMaisons d’animauxCombien De Requins A-T-Il GardĂ©, Cependant?Est-Il Un Dieu ? C’Est Un Avion ?Faites Place À Montezuma! Non, Ne Le Regarde Pas!!Je L’Ai Fait En premier!TraĂźtre!Quelqu’un est JalouxDe Grands Cadeaux GaspillĂ©s Sur Vous!Je crois pouvoir toucher le Ciel Vous avez de la chance qu’il ne puisse pas poursuivre en justice”Hommage tardifRocking In The New WorldX Marque L’Endroit?L’or du fouDe jolis hĂŽtesCapture confuseDans des circonstances mystĂ©rieusesLa Chute D’Un EmpireQuel Perdant! Oui, Bien sĂ»r, Il a dit Que
” Ce n’Est Pas Ce Que Je Voulais Dire! »Opportunistes visqueux OĂč est Un Historien Quand On En A Besoin ?! »Fille, ChĂšre FilleQu’En Est-Il De Ma petite-Fille?PleurĂ© Par Ses EnnemisLa Renaissance de MontezumaVengeance Be Mine Le DeuxiĂšme de son nom Montezuma Ă©tait en fait le deuxiĂšme homme Ă  porter ce nom. Alors que les AztĂšques n’ont pas pris la peine de diffĂ©rencier leurs dirigeants par des nombres, Montezuma est officiellement marquĂ© comme Montezuma II dans les documents historiques europĂ©ens. De toute façon, je suis responsable Le titre officiel de Montezuma Ă©tait tlatoani.”Dans la langue nahuatl, ce terme signifie celui qui parle », ainsi que dirigeant. »La traduction anglaise pourrait aussi ĂȘtre king. »Montezuma Ă©tait le neuviĂšme tlatoani de la citĂ©-État mexicaine Tenochtitlan, rĂ©gnant de 1502 Ă  1520. Un roi Sous un autre nom Comme pour de nombreux personnages historiques anciens, le nom de Montezuma a connu de nombreuses variations dans les documents historiques. Mis Ă  part Montezuma, il a Ă©galement Ă©tĂ© connu sous les noms de Moctezuma, Motecuhzoma et Motēuczƍmah. Selon les textes Ă©crits en Nahuatl original, son nom complet Ă©tait Motecuhzoma Xocoyotzin. TempĂ©rament royal La façon dont les AztĂšques prononçaient le nom de Montezuma avait une traduction unique en anglais. Puisque son nom combinait les termes de seigneur” et de froncer les sourcils en colĂšre”, le nom de Montezuma pourrait ĂȘtre traduit par c’est celui qui fronce les sourcils comme un seigneur. »Une autre traduction possible est celui qui est en colĂšre d’une maniĂšre noble.” Vous savez que j’ai l’air Bien Selon les descriptions du conquistador espagnol Bernal Diaz del Castillo, Montezuma portait ses cheveux juste au-dessus de ses oreilles”, avec une barbe courte bien entretenue. Diaz del Castillo a Ă©galement Ă©crit que Montezuma Ă©tait un bel homme avec une apparence trĂšs digne. Garder propre Diaz del Castillo a Ă©galement clairement indiquĂ© que Montezuma Ă©tait un homme incroyablement exigeant. Il changeait de vĂȘtements tous les jours, ne portant la mĂȘme tenue qu’au bout de trois ou quatre jours. Montezuma se baignerait Ă©galement tous les jours, ce qui aurait sans doute laissĂ© les EuropĂ©ens perplexes gardez Ă  l’esprit que plus tard au 16Ăšme siĂšcle, la reine Elizabeth I Ă©tonna ses sujets en se baignant au moins une fois par mois. Les Oncles obtiennent les premiers Dibs Alors que Montezuma Ă©tait le neuviĂšme tlatoani de Tenochtitlan, son pĂšre Ă©tait auparavant le sixiĂšme. Montezuma n’a pas succĂ©dĂ© Ă  son pĂšre au dĂ©but; ses oncles Tizoc et Ahuitzotl Ă©taient les septiĂšme et huitiĂšme tlatoani avant que Montezuma ne devienne le neuviĂšme Ă  environ 36 ans. Votez Pour Moi! En parlant de la succession, ce n’est pas uniquement Ă  cause de sa connexion gĂ©nĂ©tique que Montezuma est devenu le prochain tlatoani. Selon la tradition aztĂšque, un conseil de trente nobles, les anciens de Tenochtitlan, a choisi le souverain. Montezuma, ainsi que plusieurs de ses frĂšres et cousins, revendiquĂšrent le leadership. Le conseil aurait choisi Montezuma uniquement sur ses mĂ©rites plutĂŽt que sur la prioritĂ© de l’ñge. Amour et Mariage Montezuma avait ce que nous pourrions appeler un harem de femmes aujourd’hui. Cependant, parmi ses nombreuses Ă©pouses et concubines, seules deux d’entre elles sont officiellement devenues reines de Tenochtitlan. Ces deux Ă©taient Tlapalizquixochtzin et Teotlalco, dont ce dernier Ă©tait la mĂšre de sa fille plus sur elle plus tard. LumiĂšres vives, Grande ville À son apogĂ©e, la ville de Tenochtitlan de Montezuma Ă©tait la plus grande ville de MĂ©soamĂ©rique et l’une des plus grandes du monde entier. Sa population la plus importante se situait entre 200 000 et 300 000 habitants, ce qui la rendait cinq fois plus grande que Londres sous le rĂšgne d’Henri VIII. Les seules villes europĂ©ennes qui pouvaient espĂ©rer rivaliser avec elle en termes de taille Ă©taient Constantinople, Venise et Paris. Pour leur part, la vue de la ville stupĂ©fia Hernan Cortes et ses hommes, Cortes Ă©crivant en Espagne la comparant Ă  leurs villes les plus grandes et les plus impressionnantes. Qu’Est-Ce Qu’Un Roi Pour Un Dieu ?! » Le pouvoir de Montezuma en tant que tlatoani venait d’un contexte religieux plutĂŽt que politique. Le systĂšme de croyance de Tenochtitlan a dĂ©clarĂ© que les nouveaux tlatoani passeraient par un rituel qui les rendrait capables de parler avec la voix du dieu Tezcatlipoca. En consĂ©quence, il serait plus appropriĂ© de considĂ©rer Montezuma comme un roi-dieu plutĂŽt que comme un simple monarque. Monty militaire Un facteur qui avait valu Ă  Montezuma la position de tlatoani Ă©tait sa capacitĂ© martiale. Puisque les tlatoani commandaient les forces de Tenochtitlan, Montezuma aurait dĂ» ĂȘtre un puissant guerrier et commandant pour ĂȘtre considĂ©rĂ© comme digne. En effet, aprĂšs ĂȘtre devenu le souverain de Tenochtitlan, Montezuma se lancera dans plusieurs campagnes, mais avec un succĂšs mitigĂ© malheureusement, sa plus grande dĂ©faite est survenue lorsque les Espagnols sont arrivĂ©s sur les lieux. PĂšre fertile Selon le petit-fils de Montezuma, Fernando Alvarado Tezozomoc, Montezuma a eu 19 enfants en tout huit filles et onze fils. Le DĂ©but de la Fin Lorsque Montezuma a dĂ©couvert pour la premiĂšre fois l’arrivĂ©e des Espagnols en MĂ©soamĂ©rique, l’annĂ©e Ă©tait 1517. Il rĂ©gnait sur Tenochtitlan depuis environ 15 ans et il avait environ 41 ans. Les choses se passaient plutĂŽt bien jusqu’à prĂ©sent — mais tout cela Ă©tait sur le point de changer. Maisons d’animaux Le palais de Montezuma Ă  Tenochtitlan Ă©tait si massif et extravagant qu’il avait deux zoos! L’un d’eux prĂ©sentait exclusivement des oiseaux de proie, tandis que l’autre contenait toutes sortes de mammifĂšres, de reptiles et d’autres oiseaux. Il a fallu un personnel d’environ 300 personnes pour gĂ©rer ces zoos et les animaux qu’ils contenaient. Combien De Requins A-T-Il GardĂ©, Cependant? Comme si cela ne suffisait pas, le palais de Montezuma contenait Ă©galement un aquarium ! Il gardait un grand nombre de poissons et d’animaux aquatiques dans une vingtaine d’étangs artificiels. Encore un autre exemple de l’incroyable symĂ©trie trouvĂ©e dans l’architecture mĂ©soamĂ©ricaine, 10 de ces Ă©tangs contenaient de l’eau douce, tandis que les 10 autres contenaient de l’eau salĂ©e. Est-Il Un Dieu ? C’Est Un Avion ? L’idĂ©e traditionnelle de la rencontre de Montezuma avec Hernan Cortes est que Montezuma, basĂ© sur le moment de l’arrivĂ©e de Cortes avec le calendrier aztĂšque, croyait que Cortes Ă©tait le dieu Quetzalcoatl retournĂ© sur terre. Les historiens l’ont longtemps utilisĂ© pour expliquer la rĂ©action de Montezuma aux Espagnols. Cependant, cette explication n’a Ă©tĂ© donnĂ©e que des dĂ©cennies aprĂšs les faits, et de nombreux historiens modernes la considĂšrent maintenant comme une fabrication utilisĂ©e pour justifier pourquoi les choses se sont dĂ©roulĂ©es comme elles l’ont fait. Faites Place À Montezuma! Non, Ne Le Regarde Pas!! ConformĂ©ment aux traditions de traitement du tlatoani, chaque fois que Montezuma sortait de son palais, les serviteurs le portaient dans une grande litiĂšre. Il Ă©tait interdit aux gens ordinaires de le regarder directement, bien que nous imaginions qu’ils devaient Ă©galement s’assurer qu’ils ne gĂȘnaient pas non plus ses serviteurs! Je L’Ai Fait En premier! Contrairement Ă  la croyance populaire, Hernan Cortes n’était pas le premier Espagnol dont Montezuma a entendu parler. Cet honneur revient Ă  Juan de Grijalva, qui a explorĂ© le Mexique deux ans avant Cortes. Bien qu’il ait rencontrĂ© une dĂ©lĂ©gation d’hommes qui ont servi Montezuma, il ne s’est jamais rendu Ă  Tenochtitlan. Si seulement Cortes avait pris aprĂšs lui
 TraĂźtre! Fait intĂ©ressant, l’un des hommes de la dĂ©lĂ©gation qui a accueilli Juan de Grijalva a fini par rejoindre la compagnie de de Grijalva, abandonnant son service Ă  Montezuma. Nous le savons parce que l’homme a Ă©tĂ© baptisĂ© Francisco et accompagnerait Hernan Cortes dans son expĂ©dition Ă  Tenochtitlan en tant qu’interprĂšte. Quelqu’un est Jaloux AprĂšs avoir appris les explorations de Juan de Grijalva, Montezuma a envoyĂ© des gardes supplĂ©mentaires pour surveiller tous les nouveaux voyageurs, insistant pour qu’il les dĂ©couvre le plus tĂŽt possible. En 1519, il apprit l’arrivĂ©e de Cortes, et il apprit Ă©galement que Cortes avait conclu une alliance avec une tribu appelĂ©e les TlaxcaltĂšques, l’un des plus grands ennemis des AztĂšques. En rĂ©ponse, Montezuma souhaitait montrer sa supĂ©rioritĂ© aux TlaxcaltĂšques, il envoya donc des cadeaux aux nouveaux arrivants. Il est sĂ»r de dire que cela aurait certainement attirĂ© l’attention de Cortes. De Grands Cadeaux GaspillĂ©s Sur Vous! Le 8 novembre 1519, Cortes et Montezuma se rencontrĂšrent face Ă  face pour la premiĂšre fois en dehors de Tenochtitlan. Les deux hommes Ă©changĂšrent des cadeaux, Montezuma prĂ©sentant Ă  Cortes un calendrier aztĂšque en forme de disques d’or et d’argent. À la grande fureur et Ă  la consternation de tous les amateurs d’histoire lisant ceci, Cortes fonda plus tard les deux disques, intĂ©ressĂ© uniquement par le montant d’argent qu’il pouvait obtenir des mĂ©taux prĂ©cieux. Je crois pouvoir toucher le Ciel Avant de devenir tlatoani, Montezuma n’était pas seulement un gĂ©nĂ©ral de l’armĂ©e de Tenochtitlan, il Ă©tait aussi un grand prĂȘtre au sein de leur religion. Les documents historiques font une grande partie de sa piĂ©tĂ©, consultant rĂ©guliĂšrement des prĂȘtres et des saints, mĂȘme lorsqu’il Ă©tait tlatoani. Vous avez de la chance qu’il ne puisse pas poursuivre en justice” Avant d’écrire le roman classique Ben-Hur, Lew Wallace a dĂ©peint Montezuma dans son premier roman The Fair God. Wallace a poussĂ© le mythe selon lequel Montezuma supposait que Cortes devait ĂȘtre le dieu Quetzalcoatl. Il affirme que cette croyance a rendu Montezuma faible et incertain, ordonnant mĂȘme Ă  ses propres armĂ©es de cesser d’attaquer les Espagnols alors qu’elles auraient pu les anĂ©antir pour de bon. Hommage tardif Non seulement une montagne et une riviĂšre de Mexico partagent le nom de Montezuma en son honneur, mais il en va de mĂȘme pour plusieurs espĂšces d’animaux et de plantes. Il s’agit notamment de la caille de Montezuma et du Pinus montezumae. Rocking In The New World En 1975, le musicien canadien Neil Young a sorti l’album Zuma, qu’il a nommĂ© d’aprĂšs Montezuma. Pour cimenter cela, il a appelĂ© l’une des chansons de l’album Cortez the Killer”, dĂ©taillant la chute des AztĂšques. X Marque L’Endroit? Un aspect assez Ă©trange de l’hĂ©ritage de Montezuma est le mystĂšre de son trĂ©sor perdu. Une version de l’histoire derriĂšre ce trĂ©sor est l’idĂ©e que lorsque les Espagnols ont pris Montezuma en otage, ils s’attendaient Ă  une rançon. PlutĂŽt que de renoncer Ă  leurs richesses, les AztĂšques ont cachĂ© de vastes quantitĂ©s d’or, agissant comme s’ils ne pouvaient pas se permettre une telle rançon. L’or du fou MalgrĂ© de nombreuses tentatives au cours des siĂšcles pour trouver le trĂ©sor lĂ©gendaire de Montezuma, et malgrĂ© de nombreuses affirmations selon lesquelles les gens sont tombĂ©s sur ledit trĂ©sor, il n’y a aucune preuve qu’il ait jamais existĂ©. D’une part, les histoires n’ont jamais mentionnĂ© les Espagnols exigeant une rançon pour la libertĂ© de Montezuma. Aucune fouille n’a mis au jour ce trĂ©sor supposĂ©, et les historiens s’accordent gĂ©nĂ©ralement Ă  dire qu’il s’agissait simplement d’un mythe. De jolis hĂŽtes Selon les sources historiques, les AztĂšques ont accueilli Cortes et les Espagnols Ă  Tenochtitlan et leur ont permis de rester dans la grande ville pendant plusieurs mois. Nous ne savons pas pourquoi Montezuma Ă©tait si gĂ©nĂ©reux, certains affirmant qu’il craignait les Espagnols, ou qu’il voulait en apprendre davantage sur ces gens Ă©tranges. Il aurait Ă©galement pu prĂ©voir de les endormir dans un faux sentiment de sĂ©curitĂ© jusqu’à la saison des rĂ©coltes, quand il pourrait rassembler ses armĂ©es et attaquer. Capture confuse À un moment donnĂ© pendant le sĂ©jour des Espagnols Ă  Tenochtitlan, Cortes fit prisonnier Montezuma chez lui. Nous ne savons pas quand exactement cela s’est produit, ni comment, Ă©tant donnĂ© Ă  quel point les AztĂšques Ă©taient plus nombreux que les Espagnols dans la ville. Nous ne savons pas non plus pourquoi ils ont fait prisonnier Montezuma, bien que certains spĂ©culent qu’il souhaitait expulser les Espagnols de la ville. Dans des circonstances mystĂ©rieuses Tout comme nous ne connaissons pas la vĂ©ritĂ© derriĂšre la capture de Montezuma, nous ne connaissons pas non plus la vĂ©ritĂ© sur sa disparition. Il existe plusieurs versions de sa fin, sans aucune indication quant Ă  qui a raison et qui ment. Une thĂ©orie est que les Espagnols ont pris la vie de Montezuma, tandis qu’un autre prĂ©tend que son propre peuple l’a abattu lorsqu’il a essayĂ© d’empĂȘcher l’effusion de sang dans la ville. Nous ne saurons jamais exactement ce qui lui est arrivĂ©, du moins jusqu’à ce que nous inventions enfin une machine Ă  remonter le temps qui fonctionne. La Chute D’Un Empire AprĂšs la fin de Montezuma, les Espagnols ont fui Tenochtitlan. Cependant, ils sont rapidement revenus, cette fois avec des milliers de TlaxcaltĂšques comme alliĂ©s. Ils ont entrepris de conquĂ©rir Tenochtitlan et de le piller sans pitiĂ©. Quel Perdant! Bien que le royaume de Tenochtitlan ait atteint sa plus grande Ă©tendue sous le rĂšgne de Montezuma, l’histoire l’a souvent dĂ©peint comme un souverain trĂšs faible et incertain. Cela peut ĂȘtre dĂ» au fait que l’Empire aztĂšque avait besoin d’un bouc Ă©missaire pour justifier pourquoi ils ont Ă©tĂ© victimes des envahisseurs espagnols. Montezuma a servi cet objectif et a donc Ă©tĂ© vilipendĂ© dans les livres d’histoire. Oui, Bien sĂ»r, Il a dit Que
” Il reste un mystĂšre controversĂ© sur ce qui s’est exactement passĂ© lorsque Cortes et Montezuma se sont assis et ont commencĂ© Ă  communiquer entre eux. Selon Cortes lui-mĂȘme, Ă©crivant au roi d’Espagne, Montezuma soumit volontairement son royaume Ă  l’Espagne. Comme il semble peu probable qu’un roi-dieu abandonne si ardemment son autoritĂ©, il est prudent de supposer que Cortes mentait ou se trompait. Ce n’Est Pas Ce Que Je Voulais Dire! » Une raison possible de la reddition supposĂ©e de Montezuma pourrait rĂ©sider dans une perte de traduction du Nahuatl en espagnol. C’était une coutume parmi les gens de Montezuma de parler en termes trĂšs polis, ce qui aurait pu conduire Ă  la confusion s’il Ă©tait mal traduit. Bien sĂ»r, cela signifie que nous ne saurons jamais exactement ce que Montezuma voulait vraiment dire. Opportunistes visqueux Une autre raison pour laquelle Cortes aurait pu prĂ©tendre que Montezuma se soumettait Ă  l’autoritĂ© du Roi espagnol est que cela donnerait au Roi une justification pour l’attaquer. Selon la loi espagnole, le roi ne pouvait pas forcer les gens Ă  se soumettre Ă  lui, mais il pouvait punir les rebelles en toute impunitĂ©. Cortes aurait peut-ĂȘtre cherchĂ© une Ă©chappatoire morale pour conquĂ©rir Tenochtitlan si une telle Ă©chappatoire pouvait exister. OĂč est Un Historien Quand On En A Besoin ?! » En raison des sources incertaines, nous ne savons pas exactement ce qui est arrivĂ© aux enfants de Montezuma. Les Espagnols auraient fait prisonniers deux de ses fils aprĂšs la chute de Tenochtitlan. De nombreuses sources affirment qu’ils ont perdu la vie en captivitĂ© espagnole, mais il est difficile de le dire avec certitude. Fille, ChĂšre Fille AprĂšs la perte de son pĂšre quand elle Ă©tait enfant, la fille de Montezuma, Tecuichpoch Ixcaxochitzin, a passĂ© son adolescence Ă  ĂȘtre utilisĂ©e comme pion Ă  cause de son nom. Elle a Ă©tĂ© mariĂ©e au successeur de Montezuma qui Ă©tait aussi son oncle avant sa mort prĂ©maturĂ©e de la variole 60 jours plus tard. Elle fut ensuite mariĂ©e au suivant et dernier tlatoani de Tenochtitlan son cousin CuauhtĂ©moc. Les Espagnols s’emparĂšrent de CuauhtĂ©moc aprĂšs qu’ils eurent conquis Tenochtitlan avec leurs alliĂ©s aborigĂšnes. Tecuichpoch survĂ©cut Ă  son mari les Espagnols l’exĂ©cutĂšrent et entra en relation avec nul autre qu’Hernan Cortes lui-mĂȘme. Cortes s’est avĂ©rĂ©e n’ĂȘtre pas diffĂ©rente de ses partenaires prĂ©cĂ©dents; il a forcĂ© Tecuichpoch Ă  se convertir au catholicisme et l’a baptisĂ©e du nom d’Isabel. Qu’En Est-Il De Ma petite-Fille? Isabel, comme on l’appelait dĂšs lors, aurait une fille avec Cortes, l’homme qui avait capturĂ© et peut-ĂȘtre tuĂ© son pĂšre. Comme vous pouvez l’imaginer, leur relation s’est trĂšs vite dĂ©tĂ©riorĂ©e et Cortes l’a mariĂ©e Ă  l’un de ses collĂšgues. Cependant, Cortes a reconnu et soutenu financiĂšrement sa fille illĂ©gitime et la petite-fille de Montezuma. Cette fille Ă©tait Leonor Cortes Moctezuma, et elle Ă©pouserait Juan de Tolosa et aurait au moins trois enfants avec lui. On ne sait pas quand elle est passĂ©e, mais nous savons que c’était quelque temps avant 1594. PleurĂ© Par Ses Ennemis Étonnamment, le dĂ©cĂšs de Montezuma a vĂ©ritablement Ă©mu les Espagnols. Bernal Diaz del Castillo a Ă©crit que lui, Cortes et les autres conquistadors pleuraient pour Montezuma, qu’ils considĂ©raient non seulement comme le meilleur roi qu’ils aient jamais eu au Mexique”, mais aussi une sorte de figure paternelle pour eux. Comme c’est tragique, alors, ce qu’ils allaient faire subir au peuple de Montezuma dans les siĂšcles qui ont suivi. La Renaissance de Montezuma Au cours du XVIIIe siĂšcle, Montezuma a fait l’objet d’un nombre surprenant d’opĂ©ras. Antonio Vivaldi, Josef Myslivecek, Carl Heinrich Graun et Niccolo Antonio Zingarelli ont tous pris le temps de rĂ©diger des Ɠuvres sur le souverain dĂ©chu. Vengeance Be Mine À ce jour, les Mexicains ont un surnom pour la diarrhĂ©e qui afflige frĂ©quemment les touristes » La vengeance de Montezuma. »L’implication vient de la lĂ©gende urbaine selon laquelle Montezuma aurait jetĂ© une malĂ©diction contre les EuropĂ©ens qui massacreraient et asserviraient les AztĂšques. Pour ĂȘtre juste, si c’est vrai, ce ne serait certainement pas immĂ©ritĂ©.
LOTHAIREII (825 env.-869) roi de Lotharingie (855-869). Écrit par Michel SOT ‱ 357 mots Second fils de Lothaire I er , Lothaire II reçut en partage Ă  la mort de son pĂšre les contrĂ©es nordiques de la Francie mĂ©diane, de la Frise au plateau de Langres et au Jura, entre l'Escaut et le Rhin, tandis que son frĂšre aĂźnĂ© Louis II recevait l'Italie, et son frĂšre cadet Charles de
Philippe est sacrĂ© Ă  Reims dans sa quatorziĂšme annĂ©e, le 1er novembre 1179, du vivant de son pĂšre Louis VII le Jeune. L'annĂ©e suivante, le 28 avril 1180, il est mariĂ© Ă  Isabelle de Hainaut, qui lui apporte en dot l'Artois, Arras et Saint-Omer. Comme son pĂšre meurt le 18 septembre suivant, le voilĂ  dĂ©sormais seul Ă  rĂ©gner sur la France sous le nom de Philippe II. MalgrĂ© ses dĂ©boires matrimoniaux, malgrĂ© aussi sa fragilitĂ© nerveuse, il va se rĂ©vĂ©ler un grand souverain par son oeuvre administrative et ses conquĂȘtes, qui lui vaudront de quadrupler le domaine royal et le feront parfois surnommer le ConquĂ©rant. Un roi conquĂ©rant Philippe Auguste combat avec succĂšs les rois d'Angleterre, Henri II PlantagenĂȘt et ses fils Richard Coeur de Lion et Jean sans Terre, qui, par leurs possessions continentales Normandie, Anjou, Aquitaine..., menacent trĂšs directement son autoritĂ©. Tandis qu'il manipule contre le vieux roi Henri II ses propres fils, voilĂ  que l'on apprend la victoire du sultan Saladin sur les Francs Ă  HattĂźn. Le 3 octobre 1187, JĂ©rusalem tombe entre ses mains. C'est la stupeur en Occident. Les Francs de Palestine, sur le point d'ĂȘtre rejetĂ©s Ă  la mer, appellent Ă  l'aide les rois d'Occident. Philippe Auguste convient alors d'une trĂȘve avec les PlantagenĂȘt et, sans se hĂąter, s'embarque pour la Terre sainte de mĂȘme que le nouveau roi d'Angleterre Richard 1er. Mais le coeur n'y est pas. Les deux rois se querellent dĂšs l'embarquement Ă  Messine, en Sicile, et leurs dissensions se font de plus en plus vives. Philippe Auguste s'en retourne chez lui sitĂŽt aprĂšs la prise de la citadelle d'Acre. De retour en France, il profite de la longue absence de Richard Coeur de Lion pour enlever le Vexin et une partie de la Normandie aux Anglais. À la mort de Richard, Philippe se rĂ©concilie provisoirement avec son frĂšre et successeur, le roi Jean sans Terre, par le traitĂ© du Goulet, le 22 mai 1200. DĂšs le lendemain est cĂ©lĂ©brĂ© le mariage entre le fils du roi Philippe Auguste et la niĂšce de Jean sans Terre, Blanche de Castille. Mais trĂšs vite, les hostilitĂ©s reprennent. Le conflit franco-anglais dĂ©bouche en 1214 sur une coalition internationale, la premiĂšre du genre. Elle rĂ©unit le roi d'Angleterre Jean sans Terre, les comtes de Flandre et de Boulogne, le duc de Brabant ainsi que l'empereur d'Allemagne Otto IV. La bataille dĂ©cisive a lieu Ă  Bouvines, le dimanche 27 juillet 1214. Elle se solde par une victoire Ă©clatante de la chevalerie française alliĂ©e aux milices communales. Sous le rĂšgne de Philippe Auguste a lieu aussi la croisade contre les Albigeois. Elle est dĂ©clenchĂ©e en 1208 suite au meurtre du lĂ©gat du pape Innocent III par un Ă©cuyer du comte de Toulouse, sur une route du Languedoc. Philippe Auguste se garde d'intervenir directement dans l'expĂ©dition, soit qu'il est trop occupĂ© par ses guerres avec les PlantagenĂȘt et leurs alliĂ©s, soit qu'il ne veut pas salir la dynastie dans une guerre contre des chrĂ©tiens appelĂ©s Ă  devenir ses sujets. Il laisse aux petits seigneurs du bassin parisien, tel Simon de Montfort, le soin de faire la sale besogne. Mais il reviendra Ă  son fils Louis VIII le Lion et Ă  son petit-fils d'en terminer avec celle-ci. La France des premiers rois capĂ©tiens Cliquez pour agrandir Pendant les deux premiers siĂšcles, les CapĂ©tiens n'ont d'autoritĂ© que sur un petit territoire s'Ă©tendant de Paris Ă  OrlĂ©ans. Le reste du royaume demeure Ă  la merci de seigneurs rebelles et turbulents. Les rois, de concert avec le clergĂ©, n'ont de cesse de rĂ©duire la violence endĂ©mique... Un roi administrateur Le roi crĂ©e un corps de fonctionnaires salariĂ©s les baillis au nord et sĂ©nĂ©chaux dans le Midi, pour rendre la justice et remplacer ou surveiller les prĂ©vĂŽts, traditionnels rĂ©gisseurs des domaines royaux, coupables de nombreux abus. Il multiplie les rentrĂ©es d'impĂŽts, notamment en vendant des chartes de franchises et en Ă©mancipant les serfs contre espĂšces. Le roi ne manque pas aussi d'embellir sa capitale Paris et l'entoure d'une premiĂšre ligne de fortifications, l' enceinte Philippe Auguste » dont il reste quelques vestiges dans le quartier du Marais. PubliĂ© ou mis Ă  jour le 2018-11-27 095014
\n\n\n\n\n \n \n \nle roi est empereur en son royaume
Astray cat in a derelict car in one of the abandoned buildings along the shore of the Tagus in Cacilhas. She behaved like she was on a job interview, demonstrating the best of her abilities as a loving house cat. I didn't bring her home though Thank you everyone for your visits, faves and comments, they are always appreciated :)
Il y a trente ans, Didier Piganeau, alias Didier 1er rĂ©gnait sur le Royaume de Basoche Ă  Poitiers. Avec ses camarades, joyeux lurons, l’étudiant en droit, Ă  l’esprit frondeur, s’est inventĂ© ce Royaume, constituĂ© de quelques bistrots et de franches rigolades. A la suite d’une bonne blague, en 1977, il s’est ainsi retrouvĂ© invitĂ© au couronnement de Bokassa 1er Ă  Bangui en Centrafrique. Pris dans l’engrenage, il a assumĂ© jusqu’au bout son rĂŽle de roi et sa couronne imaginaire. Devenu journaliste Ă  Sud-Ouest, il raconte son incroyable pĂ©riple, dans Le roi chez l’empereur, aux Ă©ditions La Table Ronde. TĂ©lĂ©charger l'interview Qab1.
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