Le vaisseau Discovery est en route vers Saturne. A son bord, deux astronautes et le plus puissant ordinateur jamais conçu, HAL 9000. Cinq ans plus tôt,... Lire la suite 7,40 € Neuf Poche En stock 7,40 € Ebook Téléchargement immédiat 9,99 € Grand format Expédié sous 3 à 6 jours 22,00 € En stock en ligne Livré chez vous à partir du 18 août Le vaisseau Discovery est en route vers Saturne. A son bord, deux astronautes et le plus puissant ordinateur jamais conçu, HAL 9000. Cinq ans plus tôt, un étrange monolithe noir a été découvert sur la Lune. Et bien longtemps auparavant, à l'aube de l'humanité, un objet similaire s'était posé sur la Terre et avait parlé aux premiers hommes. Un nouveau signe de cette présence a été détecté aux abords de Saturne. Que sont ces mystérieuses sentinelles ? Quel message doivent-elles délivrer ? Nous sommes en 2001. L'humanité a rendez-vous avec la porte des étoiles, aux confins du cosmos... Date de parution 13/04/2022 Editeur Collection ISBN 978-2-290-37451-1 EAN 9782290374511 Format Poche Présentation Dos carré collé Nb. de pages 288 pages Poids Kg Dimensions 11,1 cm × 17,9 cm × 1,5 cm
Achetez2001 odyssée de l'espace : AA (1968) Poster/affiche de film, de Up Close sur gratuite dès 25€ Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer votre expérience d'achat et fournir nos services, comme détaillé dans notre2001l'Odyssée de l'espace : les affiches du film. Un film avec Keir Dullea , Gary Lockwood , William Sylvester , Leonard Rossiter , Robert Beatty. Genre : science fiction - Durée : 2h21 - Année de production : 1968.Vendu Un poil trop tard cette pièce unique a été vendue ! Heureusement, des modèles similaires vous attendent. Dans quel pays souhaitez-vous être livré ? Indiquez votre pays de livraison ensuite dans les modalités de livraison » et sélectionnez la livraison correspondant à votre pays de Si vous ne trouvez pas de livraison adaptée, demandez-nous un devis. Une erreur est survenue Produit ajouté au panier Affiche française 2001, l’odyssée de l’espace Quantité 1 40 € Oups ! Une erreur technique est survenue, merci de bien vouloir réessayer votre ajout au panier. SelencyPro - Acheteur professionnel ? Connectez-vous pour bénéficier de remises exclusives. ☝️ Une question sur cette pièce ? Même si vous ne pouvez pas voir cette pièce avant de passer commande, vous pouvez poser toutes vos questions au vendeur via messagerie privée. Cliquez sur Contacter le vendeur ». Et si vous visitiez cet intérieur dans notre prochaine newsletter ? Votre demande de devis a bien été envoyée au vendeur Une erreur est survenue lors de votre demande de devis Comment ça marche ?Si vous ne trouvez pas d'offre de livraison adaptée à votre besoin, renseignez votre code postal ci-dessus, et une demande de devis de livraison sera adressée au vendeur de cet article. Vous serez notifié dès qu'il vous aura répondu.
Cinquantenaire du film oblige, l'actualité printemps-été 2018 du chef-d'œuvre de Stanley Kubrick est plutôt chargée. Après sa projection dans une flamboyante copie argentique 70 mm au dernier Festival de Cannes, sous les bons auspices de Chris Nolan, 2001 l'odyssée de l'espace est ressorti dans quelques salles dans cette même version. Le 13 juin, le Warner le distribuait également dans une version digitale restaurée numériquement en 4K. Autant dire un festin visuel orgasmique pour les admirateurs de la mythique épopée cosmique. À Cannes, sa projection fut l'occasion d'un entretien rare et précieux avec son visage le plus célèbre Keir Dullea, alias l'astronaute Dave Bowman dans le film. Le jour de notre rencontre, assis à une table sur une terrasse perchée au 6e et dernier étage du Palais de festivals, l'acteur dédicace silencieusement plusieurs affiches de 2001 l'odyssée de l'espace. C'est un bel homme élégant de 82 ans, regard bleu acier, sourire de Mona Lisa, voix suave et gestuelle posée. Pas de doute même si cinquante ans se sont écoulés depuis le choc céleste de Kubrick, c'est bien le même interprète de David Bowman que l'on observe discrètement signer ses posters, avant d'aller le saluer timidement. Quelques mètres plus loin, Katharina, la belle-fille adoptive de Stanley Kubrick, flanquée du beau-frère/producteur de celui-ci, Jan Harlan, répondent en binôme aux questions de confrères de la télé britannique. Comme eux, Keir Dullea a été convié par le studio Warner à honorer de sa présence la projection événementielle cannoise de 2001, en version 70 mm supervisée par Christopher Nolan. Dans le chef-d'œuvre increvable de Kubrick, son personnage, Bowman doit d'abord désactiver HAL 9000, l'ordinateur de bord du vaisseau Discovery One qui vient d'éliminer tout l'équipage sous l'effet d'un inexplicable coup de folie, en route vers Jupiter. Après avoir vaincu HAL, l'astronaute rencontre en toute simplicité une intelligence extra-terrestre qui lui fait entrevoir l'infiniment grand et l'infiniment petit à travers la porte des étoiles, avant de le réincarner en fœtus cosmique. En deux heures trente de film, le destin du comédien sera scellé. Keir Dullea a eu beau jouer dans une quarantaine de longs-métrages dont Bunny Lake a disparu d'Otto Preminger en 1965, il sera Dave Bowman pour l'éternité. Et il ne s'en plaint pas, même si, à titre personnel, il ne considère pas 2001 comme son chouchou Il y a pire que d'être associé à l'un des plus grands films de l'histoire du cinéma. Mais mon personnage n'était pas un challenge comme le furent ceux que j'ai joués dans David et Lisa qui lui valut un Golden Globe en 1963 ou Bunny Lake a disparu, même si j'ai détesté travailler avec Preminger. » Dans 2001, Keir Dullea incarne David Bowman avec un tel excès de sobriété que certains critiques de l'époque avaient tancé son jeu, jugé aussi mécanique et inexpressif que celui… d'une machine. Une direction d'acteur évidemment intentionnelle chez Kubrick Stanley nous avait prévenus, Gary Lockwood et moi Lockwood joue dans le film le Dr Frank Poole, binôme de Bowman, NDLR, que nos personnages avaient des profils psychologiques tels qu'il nous serait impossible de s'exciter à leur sujet Bowman et Poole sont des scientifiques, plusieurs fois docteurs dans diverses disciplines, ils sont de nature extrêmement calme et retenue. Stanley nous demandait toujours de les jouer en sous-régime parce que, selon lui, c'étaient deux hommes qui venaient de passer des mois dans l'espace et accomplissaient chaque jour les mêmes gestes, la même routine. Le challenge pour Lockwood et moi était de trouver la juste nuance. » La lumière sur le plateau était surtout le plus grand souci de Stanley. Grand fan de Spartacus, Lolita et Les Sentiers de la gloire, Keir Dullea se souvient avoir été fou de joie » le jour où son agent lui apprit que Kubrick un génie » à ses yeux l'avait choisi pour le rôle de Bowman. Dès son premier tour de manivelle, sur les immenses plateaux de la MGM à Borehamwood, près de Londres, Dullea put expérimenter le perfectionnisme notoire du réalisateur Mon premier jour de tournage fut une scène avec Gary dans le décor de la centrifugeuse de Discovery. Juste avant de crier moteur, Stanley a remarqué un détail qui lui déplaisait sur nos chaussures. On a reporté la scène au lendemain, le temps qu'un modèle qui lui convient soit trouvé ! » Keir Dullea confirme que le cinéaste pouvait bel et bien enchaîner par dizaines le nombre de prises pour un plan, mais pas nécessairement concernant le jeu C'est surtout la lumière sur le plateau qui était son plus grand souci. Pour certaines scènes, Stanley prenait lui-même jusqu'à 50 photos polaroïd du décor avec un changement d'éclairage à chaque photo. Sachant qu'il pouvait s'écouler trente minutes entre chaque changement, je vous laisse faire le calcul… » Malgré une première poignée de critiques assassines ou déconcertées à la sortie du film, 2001 a rapidement pris de l'altitude, avant de rencontrer au final un vibrant succès public et critique, prélude à sa légende. Keir Dullea, tout en travaillant régulièrement depuis, n'a jamais réussi à faire oublier le visage fusionné aux étoiles de son alter ego Dave Bowman. Et, après tout, il en est en partie lui-même responsable en 1983, Dullea joua sciemment des coudes pour convaincre le réalisateur Peter Hyams de l'embaucher de nouveau dans la peau de Bowman, pour le tournage imminent de 2010, l'année du premier contact, suite de 2001 J'aime bien 2010, c'est un bon film que j'ai aimé faire, et c'est à mon initiative que Peter Hyams m'a engagé. Je tournais à Los Angeles comme guest star un épisode d'une série lorsque j'ai lu dans le Hollywood Reporter qu'ils allaient faire une suite à 2001, alors que personne ne m'en avait parlé ! Sur un coup de tête, sans même passer par mon agent, j'ai appelé le studio MGM, j'ai dit qui j'étais et j'ai demandé à ce qu'on me passe Peter Hyams. Il a pris l'appel et je lui ai dit Mr Hyams , avant que vous ne vous décidiez d'engager quelqu'un d'autre pour jouer mon rôle dans 2010, nous devrions nous rencontrer ! Il m'a invité à déjeuner et, le lendemain de ce rendez-vous, il m'a proposé le job. » Toujours vaillant on l'aperçoit notamment cette année sur HBO dans le téléfilm Fahrenheit 451, nouvelle adaptation du roman de Bradbury, Keir Dullea continue de travailler régulièrement au théâtre, et c'est d'ailleurs sur les planches qu'il estime avoir livré sa performance préférée et la plus difficile, loin devant 2001 en 2013, au théâtre Tennessee Williams de Provincetown Massachusetts, il a incarné Big Daddy dans une reprise de la pièce La Chatte sur un toit brûlant, au côté de son épouse Mia Dillon. Détail amusant en 1974, à Broadway, Dullea avait déjà joué sur scène dans le classique de Williams, mais cette fois en interprétant le jeune Brick, le fils de Big Daddy rôle tenu par Paul Newman dans le film de 1958 adapté de la pièce. Drôle de destin que celui d'un acteur davantage porté sur les planches et les drames familiaux mais que la postérité associera pour toujours à la science-fiction métaphysique !
2001 l'Odyssée de l'espace retrace, à travers différentes époques, le rôle joué par une intelligence inconnue dans l'évolution de l'humanité. L'aube de l'humanité. À la merci des prédateurs, chassée de son point d'eau par un groupe rival, une tribu d'australopithèques est sur le point de disparaître. Après la première projection de "2001, l'Odyssée de l'espace", le 2 avril 1968, la réception de la presse était plutôt mitigée. Retour sur la réalisation du chef d'oeuvre de Stanley Kubrick, un film très prisé par les adeptes de la théorie du expérimental qui a intrigué des générations d'amateurs de SF, "2001, l'Odyssée de l'espace" est devenu une référence dans l'histoire du cinéma. Considéré comme un véritable opéra cosmique, Kubrick a tourné son film prophétique au beau milieu de la Guerre froide, en 1966, avant que le premier homme ne marche sur la Lune. Je me méfie des films de science-fiction. C'est un genre qui doit donner à rêver et le cinéma rêve pauvrement. Nous restons toujours ou presque, sur notre faim. Mon film est l'exception. Il a coûté cher, mais il fallait tout inventer. Les deux superpuissances, les Etats-Unis et l'URSS, se livraient une course infernale, lorsque la production du film commence dans les années Soviétiques avaient l'avantage de ce bras de fer cosmique, mais les Américains triomphèrent finalement en juillet 1969, devant des millions de téléspectateurs. Certains ne croient pas que les Américains aient foulé la surface de la Lune. D'après les adeptes de théories du complot, c'est Stanley Kubrick qui aurait mis tout cela en scène à la demande du président documents peu fiables semblent montrer les proches collaborateurs de Nixon dénoncer la supposée fraude. Bien entendu, tout ceci n'est qu'un ramassis de tournage gigantesquePour réaliser "2001, l'Odyssée de l'espace", Kubrick persuade la MGM et notamment son patron, Robert O’Brie, de lui offrir deux ans de production et un budget de six millions de dollars, colossal pour l’époque. Afin de rendre le film le plus réaliste possible, le réalisateur américain emploie deux spécialistes de l’industrie spatiale et collabore étroitement avec la tournage et la postproduction vont finalement durer près de quatre ans et le budget dépassera les dix millions de extrait du "2001,"L'Odyssée de l'Espace", de Stanley Kubrick [Metro Goldwyn Mayer / Collection ChristopheL/AFP]L'angoisse de la premièreLa première projection du film a lieu à l'Uptown Theatre de Washington DC, le 2 avril 1968. Kubrick est angoissé, car ni les studios ni le PDG de la Metro Goldwyn Meyer, Robert O'Brien ni le grand patron de la production, Maurice Silverstein, n'en ont vu ne serait-ce qu'une seule projection est un désastre. Plus de 200 personnes quittent la salle avant la sortie publique dans les villes américaines est prévue pour le 10 avril, 6 jours après l'assassinat de Martin Luther King, quelques semaines avant celui de Robert Kennedy.>> Lire aussi notre Grand Format sur le film 2001 l'Odyssée de l'espace Contenu externe Ce contenu externe ne peut pas être affiché car il est susceptible d'utiliser des cookies. Pour voir ce contenu vous devez autoriser les cookies. Autoriser les cookies Un film culteAu lieu de voir des astronautes et des extraterrestres, le début du film montre des grands singes. Pendant près de 20 minutes. On les voit chasser, manger et dormir. Jusqu'au jour où un monolithe surgit de nulle part. Peu de temps après, on assiste au premier coup de génie. Les os peuvent avoir différents usages ils peuvent devenir des outils ou de puissantes armes. Mais quel est le rapport avec la conquête de l'univers?"2001, l'Odyssée de l'espace" l'illustre à l'aide d'une ellipse. Des millions d'années d'évolution sont résumées en quelques secondes. Un des montages les plus audacieux de l'histoire du chef d'oeuvre de Stanley Kubrick façonna, comme aucun autre film, la vision que nous avons des voyages dans l' Coca-Cozma/SRF Kultur-Filmschatz>> Un article sur les 50 ans de la sortie du film "2001, l'Odyssée de l'espace" est disponible sur SRF Kultur