Hier est derrière, demain est un mystère, mais aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle présent. Proverbe de Chine de Proverbe Chinois Proverbe Chinois Une citation de Proverbe Chinoisproposée le samedi 04 juin 2011 à 111428Proverbe Chinois - Ses citations Citations similaires Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. - Proverbe chinoisUn railleur s'attire toujours quelques mauvaises affaires. - Proverbe ChinoisA grands doutes sagesse profonde. A petits doutes sagesse limitée. - Proverbe chinoisNe craignez pas d'être lent, craignez seulement d'être à l'arrêt. - Proverbe chinois Votre commentaire sur cette citation. Contribuer
Hier, c'est l'histoire. Demain est un mystère. Aujourd'hui est un cadeau. » Poème de Mme Roosevelt, Footprints in Your Heart. Les empreintes dans votre cœur De nombreuses personnes entreront et sortiront de votre vie, mais seuls les vrais amis laisseront leurs empreintes dans votre cœur. Pour te gérer, utilise ta tête ;
Le COMTE et CHÉRUBIN cachés, SUZANNE, BASILE. BASILE. N’auriez-vous pas vu monseigneur, mademoiselle ? SUZANNE, brusquement. Hé ! pourquoi l’aurais-je vu ? Laissez-moi. BASILE s’approche. Si vous étiez plus raisonnable, il n’y aurait rien d’étonnant à ma question. C’est Figaro qui le cherche. SUZANNE. Il cherche donc l’homme qui lui veut le plus de mal après vous ? LE COMTE, à part. Voyons un peu comme il me sert. BASILE. Désirer du bien à une femme, est-ce vouloir du mal à son mari ? SUZANNE. Non, dans vos affreux principes, agent de corruption ! BASILE. Que vous demande-t-on ici que vous n’alliez prodiguer à un autre ? Grâce à la douce cérémonie, ce qu’on vous défendait hier, on vous le prescrira demain. SUZANNE. Indigne ! BASILE. De toutes les choses sérieuses, le mariage étant la plus bouffonne, j’avais pensé… SUZANNE, outrée. Des horreurs. Qui vous permet d’entrer ici ? BASILE. Là, là, mauvaise ! Dieu vous apaise ! il n’en sera que ce que vous voulez. Mais ne croyez pas non plus que je regarde monsieur Figaro comme l’obstacle qui nuit à monseigneur ; et, sans le petit page… SUZANNE, timidement. Don Chérubin ? BASILE la contrefait. Cherubino di amore, qui tourne autour de vous sans cesse, et qui ce matin encore rôdait ici pour y entrer, quand je vous ai quittée. Dites que cela n’est pas vrai ? SUZANNE. Quelle imposture ! Allez-vous-en, méchant homme ! BASILE. On est un méchant homme parce qu’on y voit clair. N’est-ce pas pour vous aussi cette romance dont il fait mystère ? SUZANNE, en colère. Ah ! oui, pour moi ! BASILE. À moins qu’il ne l’ait composée pour madame ! En effet, quand il sert à table, on dit qu’il la regarde avec des yeux !… Mais, peste, qu’il ne s’y joue pas ; monseigneur est brutal sur l’article. SUZANNE, outrée. Et vous bien scélérat, d’aller semant de pareils bruits pour perdre un malheureux enfant tombé dans la disgrâce de son maître. BASILE. L’ai-je inventé ? Je le dis, parce que tout le monde en parle. LE COMTE se lève. Comment, tout le monde en parle ! SUZANNE. Ah ! ciel ! BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Courez, Basile, et qu’on le chasse. BASILE. Ah ! que je suis fâché d’être entré ! SUZANNE, troublée. Mon Dieu ! mon Dieu ! LE COMTE, à BASILE. Elle est saisie. Asseyons-la dans ce fauteuil. SUZANNE le repousse vivement. Je ne veux pas m’asseoir. Entrer ainsi librement, c’est indigne ! LE COMTE. Nous sommes deux avec toi, ma chère. Il n’y a plus le moindre danger ! BASILE. Moi je suis désolé de m’être égayé sur le page, puisque vous l’entendiez ; je n’en usais ainsi que pour pénétrer ses sentiments, car au fond… LE COMTE. Cinquante pistoles, un cheval, et qu’on le renvoie à ses parents. BASILE. Monseigneur, pour un badinage ? LE COMTE. Un petit libertin que j’ai surpris encore hier avec la fille du jardinier. BASILE. Avec Fanchette ? LE COMTE. Et dans sa chambre. SUZANNE, outrée. Où monseigneur avait sans doute affaire aussi ? LE COMTE, gaiement. J’en aime assez la remarque. BASILE. Elle est d’un bon augure. LE COMTE, gaiement. Mais non ; j’allais chercher ton oncle Antonio, mon ivrogne de jardinier, pour lui donner des ordres. Je frappe, on est longtemps à m’ouvrir ; ta cousine a l’air empêtré, je prends un soupçon, je lui parle, et, tout en causant, j’examine. Il y avait derrière la porte une espèce de rideau, de porte-manteau, de je ne sais pas quoi, qui couvrait des hardes ; sans faire semblant de rien, je vais doucement, doucement lever ce rideau pour imiter le geste il lève la robe du fauteuil, et je vois… Il aperçoit le page. Ah !… BASILE. Ha, ha ! LE COMTE. Ce tour-ci vaut l’autre. BASILE. Encore mieux. LE COMTE, à SUZANNE. À merveille, mademoiselle à peine fiancée, vous faites de ces apprêts ? C’était pour recevoir mon page que vous désiriez d’être seule ? Et vous, monsieur, qui ne changez point de conduite, il vous manquait de vous adresser, sans respect pour votre marraine, à sa première camériste, à la femme de votre ami ! Mais je ne souffrirai pas que Figaro, qu’un homme que j’estime et que j’aime, soit victime d’une pareille tromperie. Était-il avec vous, Basile ? SUZANNE, outrée. Il n’y a tromperie ni victime ; il était là lorsque vous me parliez. LE COMTE, emporté. Puisses-tu mentir en le disant ! son plus cruel ennemi n’oserait lui souhaiter ce malheur. SUZANNE. Il me priait d’engager madame à vous demander sa grâce. Votre arrivée l’a si fort troublé, qu’il s’est masqué de ce fauteuil. LE COMTE, en colère. Ruse d’enfer ! je m’y suis assis en entrant. CHÉRUBIN. Hélas, monseigneur, j’étais tremblant derrière. LE COMTE. Autre fourberie ! je viens de m’y placer moi-même. CHÉRUBIN. Pardon, mais c’est alors que je me suis blotti dedans. LE COMTE, plus outré. C’est donc une couleuvre que ce petit… serpent-là ! il nous écoutait ! CHÉRUBIN. Au contraire, monseigneur, j’ai fait ce que j’ai pu pour ne rien entendre. LE COMTE. Ô perfidie ! À SUZANNE. Tu n’épouseras pas Figaro. BASILE. Contenez-vous, on vient. LE COMTE, tirant CHÉRUBIN du fauteuil et le mettant sur ses pieds. Il resterait là devant toute la terre !
Hierest derrière, demain est un mystère, mais aujourd'hui est un cadeau, c'est pour cela qu'on l'appelle présent. Proverbe Proverbes chinois Plus sur ce proverbe | Voter pour ce proverbe | 480 votes Ce que tu dois faire, ne le remets pas à demain; Mets-y dès aujourd'hui la main. Proverbe Proverbes espagnols Plus sur ce proverbe | Voter pour ce proverbe | 466 votes Hier reluisait
Décidément, la réputation d'opacité du système politique algérien n'est pas usurpée. Non seulement les Algériens vont élire demain à la présidence un candidat invisible - certes pour des raisons de santé -, mais ils vivent aussi depuis l'indépendance sous la tutelle pesante de services de renseignements dont ils ne connaissent pas le responsable, ignorent tout, y compris le visage. C'était vrai hier de Kasdi Merbah, le puissant patron de la sécurité militaire de Houari Boumédiène que la population a découvert dans les années quatre-vingt, quand il est devenu ministre. C'est vrai aujourd'hui du général Mohamed Mediène, dit Toufik, qui dirige, depuis septembre 1990, le Département du renseignement et de la sécurité DRS, successeur de la sécurité militaire. Le DRS a pendant longtemps constitué, derrière le paravent d'un gouvernement civil, la réalité du pouvoir opacité du régime algérien n'est pas tant le fait des hommes qui le dirigent que du "système" mis en place par Houari Boumédiène à l'indépendance, voire avant, dans les maquis. "Les hommes passent, les rouages demeurent", répétait Boumédiène, le deuxième chef d'État du pays. D'où cette permanence dans l'opacité de la décision politique qui est toujours prise de manière collégiale au sein de l'institution militaire armée et services lorsqu'il s'agit de questions vitales. Ce mode de fonctionnement déroute les observateurs incapables de répondre à la question qui dirige l'Algérie ? À ce propos, l'hebdomadaire Jeune Afrique rapportait, il y a peu, la question posée par Nicolas Sarkozy à un ministre algérien "Pourquoi votre pays est-il si opaque ?" "Parce que c'est justement ce qui fait notre force", lui aurait rétorqué le responsable. Un "éradicateur" pour venir à bout des islamistesAu sommet de ce mystérieux pouvoir algérien le général Mohamed Lamine Mediène, le patron des services de renseignements, le DRS. Il est à la fois l'homme le plus puissant et le moins connu du pays, celui dont le nom et celui de son service entretiennent tous les fantasmes. Il n'existerait qu'une ou deux anciennes photos de Toufik, qui semble entretenir un mystère qui accroît son aura. Il y a quelques années encore, les Algériens baissaient la voix quand ils citaient son nom. Que sait-on de lui ? Il est né en 1939, en petite Kabylie, dans la région de Sétif, et passe son enfance à Bologhine, un quartier excentré de la capitale. Jeune, pendant la guerre d'indépendance, il rejoint l'Armée de libération nationale et est l'un des quatre officiers de l'ALN encore en exercice. Après 1962, il ne quitte pas l'armée et fait partie de ce qu'on appelle en Algérie la promotion "tapis rouge" les militaires passés par l'école du KGB, les services de renseignements avenir est tracé. De retour en Algérie, il occupe différents postes au sein de la sécurité militaire chef d'antenne de la 2e région dont Chadli Bendjedid, le futur président, est le commandant en chef ; attaché militaire en Libye ; responsable de la sécurité à la présidence sous Chadli ; puis chef de l'important département de la sécurité de l'armée qui dépend des services de renseignements alors dirigés par le général Mohamed Betchine. En septembre 1990, Betchine quitte la direction de la sécurité militaire et Mohamed Mediène, nommé général, le remplace à titre transitoire. Vingt-quatre ans après, il est toujours le puissant patron des services de renseignements. La sécurité militaire a été rebaptisée Département du renseignement et de la sécurité DRS à l'arrivée de Mediène et rattachée directement à la présidence. Boumédiène qui se méfiait de la sécurité militaire les avait, à l'origine, mis sous son autorité pour les soustraire à l'état-major de l'armée et mieux les contrôler. En décembre 1991, lorsque le Front islamique du salut FIS est sur le point d'emporter les élections législatives, le général Mediène fait partie, avec un groupe de généraux, dont le chef d'état-major, le général Khaled Nezzar, des "éradicateurs" qui organisent le coup d'État. Le second tour des législatives est annulé, le président Chadli Benjedid renvoyé dans ses foyers, des dizaines de milliers d'islamistes sont arrêtés et un haut comité d'État, présidence collégiale nommée par les militaires, mis en place. C'est un habillage derrière lequel se cachent les "éradicateurs". Ils vont tirer les ficelles du pouvoir pendant toute la sanglante guerre civile à laquelle Abdelaziz Bouteflika met fin après son élection à la présidentielle, en 1999. Les militaires lui ont demandé de se présenter et de devenir le premier président civil du pays. Un animal à sang froidPendant toutes ces années, Toufik a transformé le DRS en un véritable État dans l'État. Les services de renseignements ont pris la tête de la répression des islamistes pendant la "décennie noire", les années quatre-vingt-dix. Ils infiltrent et manipulent les groupes terroristes, s'opposent à ceux du pouvoir ou de l'opposition qui veulent négocier avec le Front islamique du salut, contrôlent les médias, placent leurs hommes dans les entreprises, les administrations, les partis politiques, les associations.... On estime que le DRS compte quelque 100 000 général Mediène dispose de réseaux dans tous les milieux et sur l'ensemble du pays. Passionné de football et amateur de cigares, gros travailleur, parlant peu, fuyant les mondanités, il a la réputation d'être un calme introverti, un animal à sang froid apprécié de collaborateurs qui lui sont fidèles. C'est un homme trop puissant pour ne pas entretenir des rapports compliqués avec Abdelaziz Bouteflika, chef d'État impérieux qui entend bien être le seul responsable de la décision présidentielle. Pour le DRS, le pouvoir du premier président civil doit rester sous le contrôle de l'institution militaire et ne pas dépasser les limites d'El Mouradia, le palais présidentiel. Dès son élection, en 1999, Abdelaziz Bouteflika tente, à plusieurs reprises, de renvoyer l'armée dans ses casernes et de lui imposer la tutelle du pouvoir politique. En 2004, lorsque le chef d'état-major s'oppose presque publiquement à sa candidature et soutient son rival, Ali Benflis déjà, Bouteflika obtient le départ du chef d'état-major, le général Mohamed Lamari, qui est remplacé par un homme sûr, le général Mohamed Gaïd Salah, encore en place. Reste le DRS. Le général Mediène garde toutes les apparences d'un officier loyal à l'institution présidentielle. La présidence va tenter de l'évincer. En vain. Sous le couvert de la lutte contre la corruption, lors de leurs enquêtes, les agents des services visent des proches de l'entourage du chef de l'État, comme l'ancien patron de la Sonatrach, Chekib Khellil. Certains responsables sont envoyés en prison. Mais Abdelaziz Bouteflika et Toufik se tiennent "par la barbichette" et trouvent toujours des compromis. Ils ne sont rien l'un sans l'autre. Le patron du DRS soutient la réélection d'Abdelaziz Bouteflika en 2004, puis en 2009, après avoir appuyé, en 2008, la révision de la Constitution qui limitait le nombre des mandats présidentiels à deux. Qui partira le premier ?Ces derniers mois, le général Mediène ne semblait pas souhaiter que le président malade et très diminué physiquement postule à un quatrième mandat. À partir de l'été dernier, la querelle à fleurets mouchetés entre le DRS et l'état-major pro-Bouteflika, ce qui n'est pas le cas de toute l'armée s'exacerbe. Celui-ci rend le DRS responsable du fiasco de l'attaque de la base pétrolière près d'In Amenas, dans le Grand Sud algérien, par des islamistes en février 2013. Cette prise d'otages a entraîné la mort de plusieurs dizaines de salariés civils. Le DRS est accusé de ne pas avoir anticipé les mouvements des groupes terroristes. Le chef d'état-major, le général Mohamed Gaïd Salah, entend que le DRS s'occupe moins de politique et se cantonne à sa mission de renseignements pour assurer la sécurité du pays. Le président joue de la rivalité entre ces deux institutions qu'il entend contrôler. En septembre, l'organisation des services de renseignements est modifiée. Certaines directions passent sous le contrôle de l'état-major. Le débat s'envenime en janvier lorsque le président Bouteflika est sur le point d'annoncer sa candidature à un quatrième mandat. Le parti FLN, pro-Bouteflika, affronte directement le DRS. Du jamais-vu. Les Algériens s'inquiètent de ces règlements de comptes mis sur la place publique, ce qui n'est pas dans les habitudes du pays. En février, une réunion des officiers supérieurs décide la mise à la retraite de généraux du DRS. Toufik voit partir une partie de sa garde rapprochée. Puis tout rentre dans l'ordre. Que se passera-t-il demain entre les trois hommes forts du pouvoir algérien ? Tous trois appartiennent à la même génération, ce sont des septuagénaires qui vont passer la main à plus ou moins longue échéance. Abdelaziz Bouteflika va être réélu. Les rumeurs algéroises parlent d'un éventuel départ du général Gaïd Salah, mais il n'entend pas partir seul. Qui partira le premier ? Qui les remplacera ? Les Algériens veulent savoir si le changement des hommes se soldera par un changement du "système". Ils n'y croient guère. "Les hommes passent, les rouages demeurent...", répétait Boumédiène.
Hierest derrière, demain est mystère . « précédent suivant » Imprimer; Pages: 1 [2] 3. Auteur Sujet: Hier est derrière, demain est mystère . (Lu 7227 fois) Poulpe Radieux (munsao) Masta Poulpe 98e dan; Dragon Seigneur de guerre; Messages: 1561; Sagesse: 110; Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh Wgah'nagl fhtan; Re : Re : Hier est derrière, demain est mystère . « Réponse
Mon cher lecteur Aujourd’hui, nous pouvons demander ce que nous voulons à Google Quelle est la meilleure perceuse à percussion sans fil ? Combien font 65 cl de lait en grammes ? Quel temps fera-t-il à Bombay la semaine prochaine… Ou même, quelle est l’action française la plus rentable de 2020, qui est le meilleur gérant ? Comment réduire mes frais de gestion » Mais demain avec BlackRock, le géant inégalé de la gestion d’actifs, ils nous promettent tout autre chose BlackRock, quelles unités de compte choisir pour mon assurance vie et optimiser la transmission à mes enfants ? Comment générer une retraite complémentaire chaque mois avec l’argent de la vente de mon ? Comment financer les études supérieures de mes 2 petits enfants dans 15 ans » Mais avant cet avenir radieux, qu’ils vous promettent, voici venu les temps des grandes manœuvres et petits arrangements. Ces derniers jours BlackRock perd opportunément son premier actionnaire, Travaille dans l’ombre de la Fed, de la BCE et de la Commission Européenne et Se lance, en toute discrétion, dans la gestion grand public et les services aux Conseillers en Gestion de Patrimoine ou CGP mais aux États-Unis, on dit RIA pour Registered Investment Advisor. Ces faits sans lien apparent sont intimement liés, ils sont l’émergence des grandes manœuvres de BlackRock pour devenir le Google de votre épargne. Ça c’est pour la façade derrière laquelle, en réalité, nous allons découvrir comment BlackRock organise le Grand Délit d’Initié Néo-libéral. Il y a également une différence fondamentale entre Google et BlackRock. Si demain Google devait s’effondrer pour une raison ou une autre, il vous suffirait de quelques minutes pour changer de moteur de recherche il en irait de même pour leurs autres services. Mais si BlackRock devait s’effondrer, votre épargne serait emportée avec eux. Si l’hégémonie de Google est à la limite tolérable et ses services à haute valeur ajoutée, celle de BlackRock NE peut PAS l’être, en AUCUN cas. BlackRock aujourd’hui n’est déjà plus Too Big Too Fail, ils sont Too Big To Survive sur le temps long de l’investissement. Et au fond, eux-mêmes doivent savoir qu’ils ont dépassé la taille où l’on ne peut plus faire faillite et atteint celle où, comme les dinosaures, ils ne peuvent plus survivre à long terme.
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Il y a sept mois, Alanis Morissette nageait dans le bonheur après avoir donné la vie à son troisième enfant, un petit garçon prénommé Winter. Mais son éducation n'est pas tous les jours de tout repos. Jour après jour, son rôle de maman lui apporte joie et bonheur. Mais la maternité comporte son lot de difficultés et Alanis Morissette a parfois du mal à savoir où donner de la tête. Alors qu'elle continue d'allaiter son petit dernier âgé de 7 mois – Winter, né le 8 août 2019 –, la chanteuse de 45 ans affronte les effets secondaires de la ménopause. C'est ce qu'elle raconte dans le Sunday Times Magazine. "C'est un putain de bordel, explique-t-elle. Quand mes hormones se portent bien, je vais bien aussi... mais dans le cas contraire, j'ai la tête qui tourne !" Il faut dire que pour Alanis Morissette, être confinée en famille signifie qu'elle s'occupe de ses trois enfants Winter, mais aussi ses deux aînés, Ever Imre, 9 ans, et Onyx Solace, sa fille de bientôt 4 ans. Bien qu'elle soit aidée par son époux, le rappeur Souleye, elle a élaboré une technique afin de s'assurer qu'elle tiendrait le coup. Tous les jours, elle se réserve six minutes durant lesquelles elle ne se préoccupe que d'elle-même. "Je précise juste aux enfants que si maman n'a pas ce petit temps pour elle, alors ils auront une maman bougonne, poursuit-elle. J'ai besoin de ne rien entendre. Juste le silence. Je me cache dans la salle de bain. Ou je vais dans un couloir. Hier soir, je suis allée dans la chambre pour m'asseoir. Bien sûr, j'adorerais avoir six heures, mais..." Dernièrement, Alanis Morissette a pris la pose en couverture de Health Magazine en donnant le sein au petit Winter. Sur les réseaux sociaux, elle n'hésite jamais à partager ce joli moment mère-fils, à en discuter, ni à déclarer tout l'amour qu'elle ressent pour toutes les mamans du monde. Bien qu'elle prenne l'éducation de ses enfants très à coeur, la chanteuse n'en a pas oublié sa carrière musicale. Au contraire, d'ailleurs. En 2020, elle devrait faire son grand retour après sept ans d'absence avec un nouvel album intitulé Such Pretty Forks In The Road.
Jepourrais vous dire merci comme on dit bonjour parce que je reçois tant en retour. Hier est derrière, demain est mystère, mais aujourd’hui est un présent 💝. Tant de bienveillance, rien que pour ça je ne regrette pas d’avoir eu 50ans (enfin je demande à recompter quand même parce que je n’ai rien vu passer !!) comme dirait Jean