RĂ©ponse(1 sur 28) : Le philosophe disait que "la vĂ©ritĂ© est un pays sans chemin". Mais il n'a jamais dit que la VĂ©ritĂ© n'existait pas. S'il avait raison, il ne nous reste qu'Ă  la trouver sans compter sur un itinĂ©raire (religion, science, parti politique, etc.). Ou peut-ĂȘtre rĂ©agissait-il N'oubliez pas de cliquer sur les liens des diffĂ©rentes problĂ©matiques, afin d'accĂ©der Ă  un choix de textes relatifs Ă  cette problĂ©matique particuliĂšre. I. Qu'est-ce que la vĂ©ritĂ© ? - Qu'est-ce que la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on dĂ©finir la vĂ©ritĂ© ? - En quel sens peut-on dire d'une chose qu'elle est vraie ? - Que nous apprend la dĂ©finition de la vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© vraie. - VĂ©ritĂ© et vĂ©ritĂ©s. - La vĂ©ritĂ© peut-elle se dĂ©finir par le consensus ? - Exactitude et vĂ©ritĂ© ces deux notions se recouvrent-elles ? - N'y a-t-il de vrai que le vĂ©rifiable ? - Qu'est-ce qu'une parole vraie ? - VĂ©ritĂ© thĂ©orique, vĂ©ritĂ© pratique 1. Aux origines de la vĂ©ritĂ© l'alĂštheia a. L'Ă©volution du concept de vĂ©ritĂ© - La vĂ©ritĂ© a-t-elle une histoire ? 2. À quoi se rapporte la vĂ©ritĂ© ? Qu'est-ce qui peut ĂȘtre dit "vrai" ? 3. Distinguer la vĂ©ritĂ© a. Vrai et vĂ©ritĂ© - Le vrai se distingue-t-il de la vĂ©ritĂ© ? b. VĂ©ritĂ©, idĂ©e et rĂ©alitĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle diffĂ©rente de la rĂ©alitĂ© ? - Faut-il distinguer la vĂ©ritĂ© de la rĂ©alitĂ© ? - VĂ©ritĂ© et rĂ©alitĂ© c. Vrai et vraisemblable - "Le vrai peut quelquefois n'ĂȘtre pas vraisemblable." - Le vrai est-il toujours vraisemblable ? - Le vrai peut quelquefois n'ĂȘtre pas vraisemblable. Pourquoi ? - La vraisemblance - Quelle place donner au vraisemblable ? - Le vraisemblable prĂ©sente-t-il un intĂ©rĂȘt pour la pensĂ©e ? - Le vraisemblable et le probable. 5. VĂ©ritĂ©s de raison et vĂ©ritĂ©s de fait - Les vĂ©ritĂ©s empiriques a. Jugements analytiques et jugements synthĂ©tiques - VĂ©ritĂ©s analytiques, vĂ©ritĂ©s synthĂ©tiques. 6. La vĂ©ritĂ©-correspondance - La vĂ©ritĂ© est-elle l'adĂ©quation entre l'idĂ©e et le rĂ©el ? - La fidĂ©litĂ© au rĂ©el dĂ©finit-elle le vrai ? a. Les critiques de la vĂ©ritĂ©-correspondance 7. La vĂ©ritĂ©-cohĂ©rence 8. Les propriĂ©tĂ©s de la vĂ©ritĂ© a. VĂ©ritĂ© et universalitĂ© 9. Qu'est-ce que le faux ? - L'usage de la raison consiste-t-il seulement Ă  discerner le vrai et le faux ? 10. Les domaines/ordres de vĂ©ritĂ© - Tout peut-il ĂȘtre vrai ? - Peut-il y avoir une vĂ©ritĂ© du paradoxe ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© du cƓur ? a. Philosophie et vĂ©ritĂ© - À quel type de vĂ©ritĂ© nous conduit la rĂ©flexion philosophique ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© philosophique ? - La vĂ©ritĂ© philosophique - Faut-il admettre qu'il n'y a pas de vĂ©ritĂ© en philosophie ? b. La vĂ©ritĂ© mathĂ©matique - Qu'est-ce qu'une vĂ©ritĂ© mathĂ©matique ? - Les vĂ©ritĂ©s mathĂ©matiques c. La vĂ©ritĂ© scientifique ; science et vĂ©ritĂ© - La science est-elle le lieu de la vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© des sciences - La science a-t-elle le monopole de la vĂ©ritĂ© ? - La notion de vĂ©ritĂ© a-t-elle une signification en dehors des sciences ? - La recherche scientifique est-elle recherche de vĂ©ritĂ© ? - Quelles sciences peuvent prĂ©tendre ĂȘtre un modĂšle de vĂ©ritĂ© ? - La science relĂšve-t-elle du seul dĂ©sir de vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il une contradiction entre l'Ă©volution des sciences et leur prĂ©tention Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il contradiction entre la prĂ©tention des sciences Ă  la vĂ©ritĂ© et le fait qu'elles ont une histoire ? - La recherche de la vĂ©ritĂ© explique-t-elle Ă  elle seule l'histoire et le dĂ©veloppement des sciences ? - N'y a-t-il de vĂ©ritĂ©s que dans la Science ? - Y a-t-il un privilĂšge de la vĂ©ritĂ© scientifique ? - La connaissance scientifique peut-elle seule atteindre la vĂ©ritĂ© ? - Les connaissances scientifiques sont-elles vraies ? - Le dĂ©veloppement des sciences conduit-il Ă  penser qu'il n'existe aucune vĂ©ritĂ© dĂ©finitivement Ă©tablie ? - Une vĂ©ritĂ© scientifique est-elle indĂ©pendante du temps ? - Toute vĂ©ritĂ© scientifique est-elle un acquis pour toujours » ? - Les vĂ©ritĂ©s scientifiques ne sont-elles que conventionnelles ? - Qu'est-ce qui fait la vĂ©ritĂ© d'une idĂ©e scientifique ? - Les sciences progressent-elles vers la vĂ©ritĂ© ? - Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est scientifiquement prouvĂ© ? - Le dĂ©veloppement des sciences est-il animĂ© par une volontĂ© de vĂ©ritĂ© ou par une volontĂ© de puissance ? d. La vĂ©ritĂ© historique - Qu'est-ce qu'une vĂ©ritĂ© historique ? - La vĂ©ritĂ© historique - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© en histoire ? - Peut-on parler de vĂ©ritĂ© historique ? - En quel sens peut-on parler de vĂ©ritĂ© en histoire ? - La réécriture de la vĂ©ritĂ© historique e. La vĂ©ritĂ© religieuse - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s religieuses ? - VĂ©ritĂ© et religion. f. La vĂ©ritĂ© judiciaire - Le savant, le juge, le prĂȘtre ont-ils affaire Ă  la mĂȘme vĂ©ritĂ© ? g. La vĂ©ritĂ© esthĂ©tique - Art et vĂ©ritĂ© - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© en art ? - Peut-on parler de vĂ©ritĂ© en art ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© de l'Ɠuvre d'art ? - De quelle vĂ©ritĂ© l'art est-il capable ? - La fin de l'art est-elle la vĂ©ritĂ© ? - L'art a-t-il pour fin la vĂ©ritĂ© ? - L'art est-il dĂ©voilement d'une vĂ©ritĂ© ? - L'oeuvre d'art nous met-elle en prĂ©sence d'une vĂ©ritĂ© impossible Ă  atteindre par d'autres voies ? - Une oeuvre d'art peut-elle ĂȘtre plus vraie que son modĂšle ? - Roman et vĂ©ritĂ©. - La vĂ©ritĂ© du roman - CinĂ©ma et vĂ©ritĂ©. - Peinture et vĂ©ritĂ© - PoĂ©sie et vĂ©ritĂ© - BeautĂ© et vĂ©ritĂ© - Y a-t-il du vrai dans le beau ? - Le beau est-il le reflet du vrai ? - Faut-il sĂ©parer la beautĂ© et la vĂ©ritĂ© ? - BeautĂ© et vĂ©ritĂ© h. La vĂ©ritĂ© morale - Fait et valeur - Les jugements de goĂ»t sont-ils susceptibles de vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© des sentiments ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s morales ? - Peut-on s'accorder sur des vĂ©ritĂ©s morales ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© en morale ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s morales ? - Y a-t-il de la place pour l'idĂ©e de vĂ©ritĂ© en morale ? - Un jugement moral peut-il relever de la vĂ©ritĂ© ? II. Rechercher la vĂ©ritĂ© - "On doit exiger que je cherche la vĂ©ritĂ©, mais non que je la trouve." - Est-il besoin de rechercher la vĂ©ritĂ© ? - Suffit-il de constater pour atteindre la vĂ©ritĂ© ? - Se rapprocher de la vĂ©ritĂ©. - Approcher du vrai. - Aller au vrai. - Faut-il rechercher la vĂ©ritĂ© Ă  tout prix ? - Peut-on rechercher la vĂ©ritĂ© Ă  tout prix ? - Le dĂ©sir de vĂ©ritĂ© - Peut-on parler d'un dĂ©sir de vĂ©ritĂ© ? - Le dĂ©sir du vrai n'est-il que l'expression d'un sentiment religieux ? - La science relĂšve-t-elle du seul dĂ©sir de vĂ©ritĂ© ? - Aimer la vĂ©ritĂ©. - Peut-on aimer la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on aimer la vĂ©ritĂ© sans la connaĂźtre ? - Faut-il aimer la vĂ©ritĂ© plus que tout ? - Est-ce par amour de la vĂ©ritĂ© que l'homme recherche le savoir ? - Peut-on se passionner pour la vĂ©ritĂ© ? - La passion de la vĂ©ritĂ© a. La curiositĂ© - "L'investigation de la vĂ©ritĂ© est, en un sens, difficile, et, en un autre sens, facile." - Que faut-il pour rechercher la vĂ©ritĂ© ? 3. Faut-il rechercher la vĂ©ritĂ© ? - Est-il besoin de rechercher la vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© finit toujours par se savoir. - Pourquoi faudrait-il chercher la vĂ©ritĂ© ? 4. Qui recherche la vĂ©ritĂ© ? - La philosophie recherche-t-elle la vĂ©ritĂ© ou le sens ? - La recherche de la vĂ©ritĂ© explique-t-elle Ă  elle seule l'histoire et le dĂ©veloppement des sciences ? - Les sciences progressent-elles vers la vĂ©ritĂ© ? - La science relĂšve-t-elle du seul dĂ©sir de vĂ©ritĂ© ? - Le dĂ©veloppement des sciences est-il animĂ© par une volontĂ© de vĂ©ritĂ© ou par une volontĂ© de puissance ? - "Il vaut beaucoup mieux ne jamais penser Ă  chercher la vĂ©ritĂ© d'aucune chose plutĂŽt que de le faire sans mĂ©thode." - Existe-t-il une mĂ©thode pour trouver la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il une mĂ©thode pour dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il appliquer une mĂ©thode pour trouver la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il chercher la vĂ©ritĂ© dans une direction particuliĂšre ? - VĂ©ritĂ© et mĂ©thode - La dĂ©couverte de la vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre le fait du hasard ? - "La vĂ©ritĂ© est fille de la discussion, non pas fille de la sympathie." - Le dialogue est-il le chemin de la vĂ©ritĂ© ? - La discussion est-elle source de vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© est-elle fille de la discussion ou fille de la sympathie ? - Pensez-vous que la vĂ©ritĂ© soit fille de la discussion et non de la sympathie ? - Dialectique et vĂ©ritĂ©. b. Le doute - "Pour examiner la vĂ©ritĂ©, il est besoin une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu'il se peut." - "Le doute est un hommage que l'on rend Ă  la vĂ©ritĂ©." - La recherche de la vĂ©ritĂ© peut-elle se passer du doute ? - Quelle idĂ©e le sceptique se fait-il de la vĂ©ritĂ© ? - Douter, est-ce renoncer Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il un bon usage du doute ? - Le doute est-il une manifestation de la libertĂ© de l'esprit ? - Le doute est-il un Ă©chec de la raison ? - Le doute est-il nĂ©cessaire au progrĂšs ? - Les limites du doute ; ce dont ne peut pas douter - "Pour examiner la vĂ©ritĂ©, il est besoin une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu'il se peut." - Le doute philosophique peut-il mettre en cause la valeur de la raison elle-mĂȘme ? - Peut-on douter de tout ? - La recherche de la vĂ©ritĂ© implique-t-elle de douter de tout ? 6. Les obstacles Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© - Quels obstacles sur le chemin de la vĂ©ritĂ© ? - Quels sont les obstacles Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Qu'est-ce qui empĂȘche la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Le langage peut-il ĂȘtre un obstacle Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Quels sont les obstacles Ă  la prise de conscience de la rĂ©alitĂ© ? - Pourquoi la reconnaissance de la vĂ©ritĂ© rencontre-t-elle parfois des obstacles ? - Commenter cette affirmation d'un philosophe les convictions sont des ennemis de la vĂ©ritĂ© plus dangereuses que les mensonges ». - La diversitĂ© des opinions nous empĂȘche-t-elle d'atteindre la vĂ©ritĂ© ? - L'imagination est-elle l'ennemie de la vĂ©ritĂ© ? a. Le dĂ©sir/les passions - "Ce que l'homme dĂ©sire ĂȘtre vrai, il le croit de prĂ©fĂ©rence." 7. Trouver la vĂ©ritĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle inaccessible ? - L'esprit humain est-il incapable d'atteindre la vĂ©ritĂ© Ă  laquelle il aspire ? - Existe-t-il une mĂ©thode pour trouver la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il une mĂ©thode pour dĂ©couvrir la vĂ©ritĂ© ? III. La vĂ©ritĂ© est-elle absolue ou relative ? - Y a-t-il une ou plusieurs vĂ©ritĂ©s ? - Que faut-il entendre par vĂ©ritĂ© objective » ? - La diversitĂ© des opinions rend-elle vaine la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - La diversitĂ© des opinions nous empĂȘche-t-elle d'atteindre la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on choisir sa vĂ©ritĂ© ? a. VĂ©ritĂ© naturelle rationnelle et vĂ©ritĂ© religieuse rĂ©vĂ©lĂ©e b. VĂ©ritĂ©s scientifiques et vĂ©ritĂ©s morales c. Les vĂ©ritĂ©s empiriques 2. Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s premiĂšres, indiscutables ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s premiĂšres ? - Peut-il y avoir des vĂ©ritĂ©s premiĂšres ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s indiscutables ? - Toute vĂ©ritĂ© est-elle indiscutable ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s indubitables ? 3. La vĂ©ritĂ© a-t-elle une histoire ? La vĂ©ritĂ© change-t-elle avec le temps ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s immuables ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s indiscutables ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s indubitables ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s dĂ©finitives ? - La vĂ©ritĂ© peut-elle changer ? - Qu'est-ce qu'une vĂ©ritĂ© qui change avec le temps ? - La vĂ©ritĂ© a-t-elle une histoire ? - Le vrai a-t-il une histoire ? - Une vĂ©ritĂ© scientifique est-elle indĂ©pendante du temps ? - Toute vĂ©ritĂ© scientifique est-elle un acquis pour toujours » ? - Le dĂ©veloppement des sciences conduit-il Ă  penser qu'il n'existe aucune vĂ©ritĂ© dĂ©finitivement Ă©tablie ? - Y a-t-il une contradiction entre l'Ă©volution des sciences et leur prĂ©tention Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il contradiction entre la prĂ©tention des sciences Ă  la vĂ©ritĂ© et le fait qu'elles ont une histoire ? - Constater que la vĂ©ritĂ© change avec le temps doit-il incliner au scepticisme ? - "La vĂ©ritĂ© subsiste Ă©ternellement." - CrĂ©puscule de la vĂ©ritĂ©. - La vĂ©ritĂ© dĂ©pend-elle de nous ? - La vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre relative ? - Admettre la relativitĂ© des vĂ©ritĂ©s conduit-il Ă  renoncer Ă  toute idĂ©e de vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© est-elle relative Ă  une culture ? - Peut-on soutenir À chacun sa vĂ©ritĂ© » ? - Peut-on accepter la formule Ă  chacun sa vĂ©ritĂ© » ? - Peut-on choisir sa vĂ©ritĂ© ? - L'expression "c'est ma vĂ©ritĂ©" a-t-elle un sens ? - J'ai raison » - Que prĂ©tendons-nous affirmer par cette expression et dans quelle mesure son emploi est-il lĂ©gitime ? - "Il n'y a qu'une seule vĂ©ritĂ©, mais le nombre des rĂȘves est infini." - "VĂ©ritĂ© en deçà des PyrĂ©nĂ©es, erreur au-delĂ ." - "Les idĂ©es pour lesquelles on vit et l'on meurt sont, de ce fait mĂȘme, des absolus." a. Le relativisme et ses critiques b. Constructivisme et relativisme post-moderne 5. Le scepticisme - Quelle idĂ©e le sceptique se fait-il de la vĂ©ritĂ© ? - La diversitĂ© des opinions conduit-elle nĂ©cessairement au scepticisme ? - Constater que la vĂ©ritĂ© change avec le temps doit-il incliner au scepticisme ? IV. VĂ©ritĂ© et rĂ©alitĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle diffĂ©rente de la rĂ©alitĂ© ? - Une fiction peut-elle ĂȘtre vraie ? - L'imagination est-elle l'ennemie de la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il opposer le rĂȘve Ă  la rĂ©alitĂ© ? - Peut-on dire qu'on n'a jamais raison contre les faits ? - Peut-on avoir raison contre les faits ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© des apparences ? 1. VĂ©ritĂ© et expĂ©rience/perception - L'expĂ©rience est-elle source de vĂ©ritĂ© ? - L'expĂ©rience immĂ©diate est-elle source de vĂ©ritĂ© ? - L'expĂ©rience peut-elle servir de preuve ? 2. L'illusion - L'illusion s'oppose-t-elle Ă  la rĂ©alitĂ© ? - En quoi une illusion se distingue-t-elle d'une erreur ? - Lorsque la vĂ©ritĂ© dĂ©range, faut-il lui prĂ©fĂ©rer l'illusion qui rĂ©conforte ? 3. La vĂ©ritĂ© est une illusion 4. Langage et vĂ©ritĂ© - Le langage est-il le lieu de la vĂ©ritĂ© ? - Le langage peut-il ĂȘtre un obstacle Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Qu'est-ce qu'une parole vraie ? - "Le vrai et le faux sont des attributs du langage, non des choses." a. RhĂ©torique et vĂ©ritĂ© V. VĂ©ritĂ©, savoir et erreur 1. Les obstacles Ă  la vĂ©ritĂ© - Le langage peut-il ĂȘtre un obstacle Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Quels sont les obstacles Ă  la prise de conscience de la rĂ©alitĂ© ? - Pourquoi la reconnaissance de la vĂ©ritĂ© rencontre-t-elle parfois des obstacles ? - Commenter cette affirmation d'un philosophe les convictions sont des ennemis de la vĂ©ritĂ© plus dangereuses que les mensonges ». - L'imagination est-elle l'ennemie de la vĂ©ritĂ© ? 2. VĂ©ritĂ© et erreur - "Autre chose est de montrer Ă  un homme qu'il est dans l'erreur, et autre chose de l'instruire de la vĂ©ritĂ©." - DĂ©pend-il toujours de nous d'Ă©viter l'erreur ? - Qu'y a-t-il de plus facile dĂ©celer des erreurs ou reconnaĂźtre des vĂ©ritĂ©s ? - Peut-on reconnaĂźtre le droit Ă  l'erreur quand on a le souci de la vĂ©ritĂ© ? - Que faut-il faire pour Ă©viter l'erreur ? - En quoi une illusion se distingue-t-elle d'une erreur ? - Peut-on croire Ă  ce qu'on sait ne pas ĂȘtre vrai ? a. Pourquoi l'erreur ? - Pourquoi l'homme se trompe-t-il ? - Qu'y a-t-il de plus facile dĂ©celer des erreurs ou reconnaĂźtre des vĂ©ritĂ©s ? - DĂ©pend-il toujours de nous d'Ă©viter l'erreur ? - Que faut-il faire pour Ă©viter l'erreur ? - Erreur et contre-vĂ©ritĂ©. - La passion de la vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre source d'erreur ? b. L'erreur est un mal - Existe-t-il des erreurs profitables ? - Comment comprendre l'expression "l'erreur est humaine" ? - L'expression "l'erreur est humaine" signifie-t-elle une excuse, une constatation, une condamnation ? c. L'erreur est un bien d. L'erreur comme source de vĂ©ritĂ© - L'erreur a-t-elle un rĂŽle dans l'Ă©laboration de la vĂ©ritĂ© ? - Atteindre la vĂ©ritĂ©, est-ce nĂ©cessairement passer par l'erreur ? - Avons-nous quelque chose Ă  apprendre de nos erreurs ? 3. VĂ©ritĂ© et illusion - "C'est une maladie naturelle Ă  l'homme de croire qu'il possĂšde la vĂ©ritĂ© directement." - La connaissance de la vĂ©ritĂ© entraĂźne-t-elle nĂ©cessairement la disparition de l'illusion ? - La tĂąche de la philosophie est-elle de dĂ©noncer les illusions dont les hommes vivent ? - La science est-elle un discours sans illusion ? - Toute connaissance autre que scientifique doit-elle ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une illusion ? - L'usage de la raison est-il une garantie contre l'illusion ? - Lorsque la vĂ©ritĂ© dĂ©range, faut-il lui prĂ©fĂ©rer l'illusion qui rĂ©conforte ? - Une illusion des sens est-elle une preuve que les sens sont trompeurs ? - En quoi une illusion se distingue-t-elle d'une erreur ? - Dissiper une illusion, est-ce seulement corriger une erreur ? - Est-il raisonnable de combattre toute illusion ? - Toutes les illusions sont-elles dangereuses ? - La croyance est-elle une illusion rassurante ? - Que gagne-t-on Ă  perdre ses illusions ? a. Le besoin d'illusion - Pourquoi chĂ©rissons-nous nos illusions ? - L'homme a-t-il besoin de se faire des illusions ? - En quel sens peut-on dire que l'homme a besoin d'illusion ? - Y a-t-il une fonction de l'illusion ? - Est-il raisonnable de combattre toute illusion ? - Toutes les illusions sont-elles dangereuses ? b. Le problĂšme du nĂ©gationnisme/rĂ©visionnisme en histoire 4. VĂ©ritĂ© et savoir/opinion - La vĂ©ritĂ© s'enseigne-t-elle ? - Est-il raisonnable de prĂ©tendre possĂ©der la vĂ©ritĂ© ? a. Savoir et ignorance - Faut-il avoir peur du savoir ? - L'ignorance est-elle parfois un bien ? - Y a-t-il des degrĂ©s entre ignorer et savoir ? - Y a-t-il un intermĂ©diaire entre savoir et ignorer ? - Pouvons-nous vivre dans l'ignorance ? b. Croire et savoir - Croire et savoir. - Croire, est-ce le contraire de savoir ? - Croire, est-ce renoncer Ă  savoir ? - Entre croire et savoir, faut-il choisir ? - Est-ce par amour de la vĂ©ritĂ© que l'homme recherche le savoir ? - Entre croire et savoir, y a-t-il une diffĂ©rence de nature ? - Faut-il croire pour savoir ? - Le savoir exclut-il toute forme de croyance ? - La foi dispense-t-elle de savoir ? - Est-ce par ce qu'ils sont ignorants que les hommes ont des croyances ? - Pour connaĂźtre, faut-il se dĂ©tacher de ce que l'on croit ? - Expliquez cette pensĂ©e d'un philosophe de notre temps Le pur sentir n'est pas sentir. Sentir c'est savoir qu'on sent, et savoir, c'est percevoir. » c. VĂ©ritĂ© et croyance - Qu'est-ce qu'une croyance vraie ? d. Les diffĂ©rents degrĂ©s/types de croyances/connaissances - Y a-t-il des degrĂ©s entre ignorer et savoir ? - Y a-t-il un intermĂ©diaire entre savoir et ignorer ? e. La foi - La foi dispense-t-elle de savoir ? f. L'opinion - Y a-t-il une diffĂ©rence entre penser et avoir des opinions ? - Peut-on justifier une opinion ? - L'opinion a-t-elle nĂ©cessairement tort ? - De quelle vĂ©ritĂ© l'opinion est-elle capable ? - La diversitĂ© des opinions rend-elle vaine la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - La diversitĂ© des opinions nous empĂȘche-t-elle d'atteindre la vĂ©ritĂ© ? - La diversitĂ© des opinions conduit-elle nĂ©cessairement au scepticisme ? - Peut-on Ă  la fois dĂ©fendre la libertĂ© de penser et disqualifier l'opinion ? - Peut-on lĂ©gitimer rationnellement ses opinions politiques ? g. Être persuadĂ© ou convaincu ; persuasion et conviction - Persuader et dĂ©montrer. - Persuader quelqu'un est-ce l'empĂȘcher de penser ? - Est-il toujours nĂ©cessaire de dĂ©montrer pour convaincre ? - Suffit-il d'avoir raison pour convaincre autrui ? - Suffit-il d'avoir raison pour convaincre ? - Suffit-il de dire la vĂ©ritĂ© pour convaincre ? - DĂ©montre-t-on pour convaincre ou pour Ă©tablir une vĂ©ritĂ© ? Persuader/convaincre ; l'art de la rhĂ©torique - Que vaut une preuve contre un prĂ©jugĂ© ? - Peut-on penser sans prĂ©jugĂ©s ? - Peut-on penser sans prĂ©juger ? - Y a-t-il de bons prĂ©jugĂ©s ? - Peut-on en finir avec les prĂ©jugĂ©s ? - Sommes-nous en mesure de dĂ©celer nos propres prĂ©jugĂ©s et de nous en dĂ©livrer ? - D'oĂč vient la force des prĂ©jugĂ©s ? - Comment distinguez-vous un jugement d'un prĂ©jugĂ© ? - Comment la vĂ©ritĂ© se reconnaĂźt-elle ? - À quels signes et comment reconnaissons-nous la vĂ©ritĂ© ? - À quoi reconnaĂźt-on la vĂ©ritĂ© ? - Fournir un exemple, est-ce constituer une preuve ? - Peut-on connaĂźtre la vĂ©ritĂ© par des signes ? - À quelles exigences doit-on satisfaire pour pouvoir affirmer Ce que je dis est vrai » ? - Comment la vĂ©ritĂ© se reconnaĂźt-elle ? 1. Qu'est-ce que prouver ? - Qu'est-ce que prouver ? - Que peut prouver un exemple ? - L'expĂ©rience peut-elle servir de preuve ? - Que peut une preuve contre un prĂ©jugĂ© ? - La certitude dĂ©pend-elle de la preuve ? - La logique a-t-elle d'autres fins que la preuve ? 2. La notion de vĂ©rification - VĂ©ritĂ© et vĂ©rification - Toute vĂ©ritĂ© est-elle vĂ©rifiable ? - Ce qui est vrai est-il toujours vĂ©rifiable ? - N'y a-t-il de vrai que le vĂ©rifiable ? - L'invĂ©rifiable. a. Le principe de vĂ©rification b. La falsification - La réécriture de l'histoire - Le problĂšme du nĂ©gationnisme/rĂ©visionnisme en histoire 3. La vĂ©ritĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e par la foi - "Des idĂ©es uniformes nĂ©es simultanĂ©ment chez des peuples entiers inconnus les uns aux autres, doivent avoir une source commune de vĂ©ritĂ©." - L'accord avec autrui au niveau du discours est-il un critĂšre suffisant de vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© est-elle fille de la discussion ou fille de la sympathie ? - Le respect des convictions d'autrui est-il compatible avec la certitude d'ĂȘtre dans le vrai ? 5. L'autoritĂ©/la tradition 6. L'Ă©vidence, la certitude - De quoi peut-on ĂȘtre certain ? - L'Ă©vidence est-elle un critĂšre de vĂ©ritĂ© ? - Peut-on nier l'Ă©vidence ? - Ce qui crĂšve les yeux » est-il toujours vrai ? - Tout ce qui est Ă©vident est-il vrai ? - La certitude d'avoir raison est-elle un indice suffisant de vĂ©ritĂ© ? - Suffit-il d'ĂȘtre certain pour ĂȘtre dans le vrai ? - Suffit-il d'ĂȘtre certain pour avoir raison ? - Être certain, est-ce ĂȘtre dans le vrai ? - Devons-nous nous mĂ©fier de nos certitudes ? - La certitude est-elle une mauvaise marque de vĂ©ritĂ© ? - Certitude, mauvaise marque de vĂ©ritĂ©. - Puis-je ĂȘtre sĂ»r de ne pas me tromper ? - Peut-on ĂȘtre sĂ»r d'avoir raison ? a. La relativitĂ© de l'Ă©vidence b. La force de conviction - Commenter cette affirmation d'un philosophe les convictions sont des ennemis de la vĂ©ritĂ© plus dangereuses que les mensonges ». - "Les idĂ©es pour lesquelles on vit et l'on meurt sont, de ce fait mĂȘme, des absolus." c. La simplicitĂ©, la beautĂ© de la vĂ©ritĂ© - Y a-t-il du vrai dans le beau ? - Le beau est-il le reflet du vrai ? - Faut-il sĂ©parer la beautĂ© et la vĂ©ritĂ© ? - BeautĂ© et vĂ©ritĂ© - Faut-il tout dĂ©montrer ? - Toute vĂ©ritĂ© est-elle dĂ©montrable ? - Une vĂ©ritĂ© dĂ©montrĂ©e est-elle dĂ©finitivement Ă©tablie ? - DĂ©montre-t-on pour convaincre ou pour Ă©tablir une vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il d'autres moyens que la dĂ©monstration pour Ă©tablir une vĂ©ritĂ© ? - Seul ce qui est dĂ©montrĂ© est-il prouvĂ© ? - Peut-on dire que tout ce qui est logique est vrai ? - Peut-on dire que tout ce qui est vrai est logique ? - La rigueur d'un raisonnement suffit-elle pour garantir la vĂ©ritĂ© ? - Logique et vĂ©ritĂ© a. La cohĂ©rence / concordance - La cohĂ©rence est-elle un critĂšre de la vĂ©ritĂ© ? - La cohĂ©rence est-elle la norme de la vĂ©ritĂ© ? - La cohĂ©rence est-elle la norme du vrai ? - CohĂ©rence et vĂ©ritĂ©. - VĂ©ritĂ© et cohĂ©rence. - VĂ©ritĂ© et cohĂ©rence ? - Une pensĂ©e cohĂ©rente est-elle nĂ©cessairement vraie ? - La cohĂ©rence de la pensĂ©e suffit-elle Ă  dĂ©finir la vĂ©ritĂ© ? - La cohĂ©rence d'un discours est-elle le critĂšre de sa vĂ©ritĂ© ? b. VĂ©ritĂ© et raison - La vĂ©ritĂ© est-elle un produit de la raison ? - Est-ce seulement par la raison qu'on peut accĂ©der Ă  la vĂ©ritĂ© ? - La raison rend-elle la vĂ©ritĂ© contraignante ? 8. L'expĂ©rience sensible - L'expĂ©rience immĂ©diate est-elle source de vĂ©ritĂ© ? - L'expĂ©rience est-elle source de vĂ©ritĂ© ? - Suffit-il de s'en tenir aux faits pour ĂȘtre dans le vrai ? - L'expĂ©rience peut-elle servir de preuve ? a. Le critĂšre ou principe de vĂ©rification - La vĂ©ritĂ© peut-elle se dĂ©finir par son utilitĂ© ? - Le succĂšs peut-il ĂȘtre un critĂšre de vĂ©ritĂ© ? - Peut-on dire que le vrai est ce qui rĂ©ussit ? VII. La valeur de la vĂ©ritĂ© 1. La force de la vĂ©ritĂ© - Est-ce la vĂ©ritĂ© qui confĂšre la puissance, ou bien la puissance qui dĂ©cide de la vĂ©ritĂ© ? - Est-il de l'essence de la vĂ©ritĂ© d'ĂȘtre impuissante ? - La vĂ©ritĂ© finit toujours par triompher - dit-on ; n'est-ce pas parce qu'on finit toujours par nommer vĂ©ritĂ© » ce qui triomphe ? - ConnaĂźtre la vĂ©ritĂ©, est-ce dĂ©tenir un pouvoir ? a. Être persuadĂ© ou convaincu ; persuasion et conviction - Persuader et dĂ©montrer. - Persuader quelqu'un est-ce l'empĂȘcher de penser ? - Est-il toujours nĂ©cessaire de dĂ©montrer pour convaincre ? - Suffit-il d'avoir raison pour convaincre autrui ? - Suffit-il d'avoir raison pour convaincre ? - Suffit-il de dire la vĂ©ritĂ© pour convaincre ? - DĂ©montre-t-on pour convaincre ou pour Ă©tablir une vĂ©ritĂ© ? b. VĂ©ritĂ© et violence - Peut-on imposer la vĂ©ritĂ© par la violence ? - Violence et vĂ©ritĂ© sont-elles nĂ©cessairement incompatibles ? - La vĂ©ritĂ© est-elle contraignante ou libĂ©ratrice ? 2. Pourquoi rechercher la vĂ©ritĂ© ? - La recherche de la vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre dĂ©sintĂ©ressĂ©e ? - Quel besoin avons-nous de chercher la vĂ©ritĂ© ? - Est-il besoin de rechercher la vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© n'est-elle recherchĂ©e que pour les avantages qu'on en attend ? - Le souci de vĂ©ritĂ© du savant et celui du philosophe s'alimentent-ils Ă  la mĂȘme source ? - La recherche de la vĂ©ritĂ© peut-elle se confondre avec la recherche de la sĂ©curitĂ© ? - Pourquoi vouloir le vrai ? - Peut-on ne pas vouloir le vrai ? - Peut-on ne pas vouloir rechercher la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on ĂȘtre indiffĂ©rent Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il chercher la vĂ©ritĂ© Ă  tous prix ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer la vĂ©ritĂ© ? - Pourquoi cherche-t-on Ă  connaĂźtre ? - Peut-on se permettre de rejeter l'idĂ©e de vĂ©ritĂ© ? - L'homme cherche-t-il toujours Ă  connaĂźtre la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer la recherche du bonheur Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer le bonheur Ă  la vĂ©ritĂ© ? a. VĂ©ritĂ© et devoir - Avons-nous le devoir de chercher la vĂ©ritĂ© ? - Dire la vĂ©ritĂ© en quel sens et pour qui est-ce un devoir ? - La vĂ©ritĂ© est-elle un droit ou un devoir ? - La rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© est-elle un devoir ? b. VĂ©ritĂ© et bonheur - La vĂ©ritĂ© rend-elle heureux ? - Faut-il possĂ©der la vĂ©ritĂ© pour ĂȘtre heureux ? - La possession de la vĂ©ritĂ© est-elle indispensable au bonheur ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer la recherche du bonheur Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer le bonheur Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on prĂ©fĂ©rer le bonheur Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Y a-t-il une vĂ©ritĂ© sur le bonheur ? c. L'utilitĂ© de la vĂ©ritĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle utile ? - La vĂ©ritĂ© est-elle nĂ©cessairement utile ? - Toute connaissance doit-elle ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e en fonction de son utilitĂ© ? d. La valeur de la vĂ©ritĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle une valeur ? 3. DĂ©sir/amour et peur/haine de la vĂ©ritĂ© - Le savoir peut-il ĂȘtre source de plaisir ? - Peut-on aimer la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on aimer la vĂ©ritĂ© sans la connaĂźtre ? - Est-ce par amour de la vĂ©ritĂ© que l'homme recherche le savoir ? - Peut-on se passionner pour la VĂ©ritĂ© ? - Peut-on dire que les hommes aiment tellement la vĂ©ritĂ© qu'ils voudraient que ce qu'ils aiment soit vrai » ? - L'amour de la vĂ©ritĂ© peut-il faire obstacle au jugement ? - Le dĂ©sir du vrai n'est-il que l'expression d'un sentiment religieux ? - Comment concilier l'amour de la vĂ©ritĂ© avec la difficultĂ© de la dĂ©finir et de respecter les obligations qu'elle entraĂźne ? - Les hommes ont-ils peur de la vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© peut-elle engendrer la terreur ? - Que pensez-vous de cette affirmation d'un auteur contemporain Un aliĂ©nĂ© est un homme que la sociĂ©tĂ© n'a pas voulu entendre et qu'elle a voulu empĂȘcher d'Ă©mettre d'insupportables vĂ©ritĂ©s » ? - Une vĂ©ritĂ© scientifique peut-elle ĂȘtre dangereuse ? a. Le refus/la nĂ©gation de la vĂ©ritĂ© - Nier la vĂ©ritĂ© - Peut-on nier la vĂ©ritĂ© ? - La nĂ©gation de la vĂ©ritĂ© - Le problĂšme du nĂ©gationnisme/rĂ©visionnisme 4. Faut-il dire la vĂ©ritĂ© ? VĂ©ritĂ© et mensonge - Toute vĂ©ritĂ© est-elle bonne Ă  dire ? - Peut-on avoir de bonnes raisons de ne pas dire la vĂ©ritĂ© ? - Lorsque la vĂ©ritĂ© dĂ©range, faut-il lui prĂ©fĂ©rer l'illusion qui rĂ©conforte ? - Dire la vĂ©ritĂ© en quel sens et pour qui est-ce un devoir ? - Peut-on se mentir Ă  soi-mĂȘme ? - Comment expliquez-vous que l'on puisse se mentir Ă  soi-mĂȘme ? - Comment comprendre cette affirmation d'un personnage de Camus Le mensonge n'est jamais innocent » ? - Commenter cette affirmation d'un philosophe les convictions sont des ennemis de la vĂ©ritĂ© plus dangereuses que les mensonges ». - La vĂ©ritĂ© est-elle un droit ou un devoir ? - La rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© est-elle un devoir ? - A-t-on parfois le droit de mentir ? - A-t-on le droit de se taire quand on connaĂźt la vĂ©ritĂ© ? - N'y a-t-il aucune vĂ©ritĂ© dans le mensonge ? La franchise est-elle au service de la vĂ©ritĂ© ? a. MĂȘler le vrai au faux - DĂ©mĂȘler le vrai du faux - Peut-on confondre le vrai et le faux ? b. Mensonge et politique 5. VĂ©ritĂ© et politique - Peut-il y avoir une vĂ©ritĂ© en politique ? - Y a-t-il des vĂ©ritĂ©s en politique ? - La politique Ă©chappe-t-elle Ă  l'exigence de vĂ©ritĂ© ? - La politique Ă©chappe-t-elle Ă  une exigence de vĂ©ritĂ© ? - La vĂ©ritĂ© en politique. - Peut-on sĂ©parer la politique de l'exigence de vĂ©ritĂ© ? - Le mensonge d'État peut-il ĂȘtre lĂ©gitimĂ© ? 6. VĂ©ritĂ© et libertĂ© - La vĂ©ritĂ© est-elle contraignante ? - La vĂ©ritĂ© est-elle contraignante ou libĂ©ratrice ? - En quel sens peut-on dire que la vĂ©ritĂ© est libĂ©ratrice ? - La vĂ©ritĂ© est-elle libĂ©ratrice ? - Violence et vĂ©ritĂ© sont-elles nĂ©cessairement incompatibles ? - L'esprit reste-t-il libre quand il se soumet au vrai ? - ReconnaĂźtre le vrai, est-ce perdre sa libertĂ© ? - La raison rend-elle la vĂ©ritĂ© contraignante ? - Peut-on choisir sa vĂ©ritĂ© ? 7. VĂ©ritĂ© et intolĂ©rance - La conviction d'avoir raison fait-elle obstacle au dialogue ? - La tolĂ©rance implique-t-elle qu'on laisse les autres dans l'erreur ? - La tolĂ©rance suppose-t-elle l'indiffĂ©rence Ă  la vĂ©ritĂ© ? - L'exigence de vĂ©ritĂ© est-elle compatible avec le souci d'ĂȘtre tolĂ©rant ? - La tolĂ©rance exclut-elle toute rĂ©fĂ©rence Ă  une vĂ©ritĂ© ? - Être tolĂ©rant, est-ce renoncer Ă  la vĂ©ritĂ© ? - Peut-on tolĂ©rer l'erreur ? - Quelle idĂ©e le fanatique se fait-il de la vĂ©ritĂ© ? X. La vĂ©ritĂ© en rapport aux autres notions du programme 1. Art et vĂ©ritĂ© - Art et vĂ©ritĂ© - La fin de l'art est-elle la vĂ©ritĂ© ? - L'art est-il dĂ©voilement d'une vĂ©ritĂ© ? - L'oeuvre d'art nous met-elle en prĂ©sence d'une vĂ©ritĂ© impossible Ă  atteindre par d'autres voies ? - Faut-il sĂ©parer la beautĂ© et la vĂ©ritĂ© ? - Une oeuvre d'art peut-elle ĂȘtre plus vraie que son modĂšle ? 2. VĂ©ritĂ© et religion - Diviniser la vĂ©ritĂ©, n'est-ce pas pĂ©cher contre l'esprit ? - Le dĂ©sir du vrai n'est-il que l'expression d'un sentiment religieux ? 3. VĂ©ritĂ© et bonheur - Faut-il prĂ©fĂ©rer la recherche du bonheur Ă  la recherche de la vĂ©ritĂ© ? - Faut-il prĂ©fĂ©rer le bonheur Ă  la vĂ©ritĂ© ? 4. VĂ©ritĂ© et culture - La vĂ©ritĂ© est-elle relative Ă  une culture ? Retourner au programme des sĂ©ries gĂ©nĂ©rales Retourner au programme des sĂ©ries technologiques Date de crĂ©ation 02/02/2006 1624 DerniĂšre modification 02/03/2022 1330 CatĂ©gorie Page lue 35767 fois 1 La vĂ©ritĂ© existentielle : La mĂ©thode scientifique se fonde sur la prĂ©misse que l’univers physique existe rĂ©ellement et que nous pouvons nous fier Ă  nos sens et Ă  la logique pour dĂ©couvrir les lois qui le rĂ©gissent. Cependant, la science n’offre aucune façon de prouver que l’univers existe vraiment. Elle ne peut pas dĂ©montrer que tout ce que nous pensons ĂȘtre rĂ©el
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Attentionde ne pas identifier les Allemands aux nazis. Cela ne peut que nuire Ă  l’union des Peuples pour la libertĂ©. J’ai dĂ©jĂ  postĂ© Ă  ce sujet : Ă  partir de 1943 (Stalingrad), une exfiltration vers l’AmĂ©rique du sud sans problĂšme des nazis allemands (avec le concours du Vatican et de la Suisse) et de tout l’or qu’il avaient volĂ© a permis au systĂšme NAZI

Voici les sujets de philosophie et les corrigĂ©s de la premiĂšre Ă©preuve passĂ©e ce lundi par les candidats au Bac 2014. En partenariat avec Philosophie Magazine consultez les sujets et pistes de rĂ©flexion pour l'introduction et la problĂ©matisation et ainsi pour comprendre si vous avez dissertĂ© ou expliquĂ© le texte dans le bon sens...Les sujets du Bac philo 2014SĂ©rie L LittĂ©rairecoef 7Sujet 1 Les Ɠuvres d'art Ă©duquent-elles notre perception ?Sujet 2 Doit-on tout faire pour ĂȘtre heureux ?Sujet 3, explication de texte Karl Popper, La Connaissance objective», 1972SĂ©rie ES Economiquecoef 4Sujet 1 Suffit-il d'avoir le choix pour ĂȘtre libre ?Sujet 2 Pourquoi chercher Ă  se connaĂźtre soi-mĂȘme ?Sujet 3, explication de texte Hannah ARENDT, Condition de l’homme moderne, 1958SĂ©rie S Scientifiquecoef 3Sujet 1 Vivons-nous pour ĂȘtre heureux ?Sujet 2 L'artiste est-il maĂźtre de son Ɠuvre ?Sujet 3, explication de texte RenĂ© Descartes - RĂšgles pour la direction de l’esprit, 1628Bac Techno SĂ©rie TMDTechniques de la Musique et de la Danse coef 3Sujet 1 La diversitĂ© des cultures fait-elle obstacle Ă  l’unitĂ© du genre humain ?Sujet 2 Peut-on ĂȘtre indiffĂ©rent Ă  la vĂ©ritĂ© ?Sujet 3, explication de texte KANT, Doctrine de la vertu, Techno / toutes sĂ©riesSujet 1 Les Ă©changes sont-ils toujours intĂ©ressĂ©s ?Sujet 2 Une vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre dĂ©finitive ?Sujet 3 Texte extrait du Gorgias de Platon + questions sur le texte dont "Celui qui vit dans l'injustice et qui cherche Ă  Ă©chapper Ă  la punition est-il le plus malheureux des hommes ?"Bac pourquoi la philo ouvre le bal des Ă©preuves ?Les corrigĂ©s du Bac Philo 2014Avertissement il ne s’agit ici que de pistes de rĂ©flexion et non d’une copie type nĂ©cessairement attendue par vos correcteurs. D’autres approches, d’autres thĂšses et arguments sont Bac Philo SĂ©rie L Doit-on tout faire pour ĂȘtre heureux ?Introduction/ la diffĂ©rence de l’animal, l’homme ne se contente pas du bien-ĂȘtre physique et psychique et d’un Ă©tat de contentement de ses besoins. AnimĂ© par le dĂ©sir, il est en quĂȘte d’une satisfaction absolue, d’un Ă©tat de plĂ©nitude durable oĂč la perception du manque a disparu et qu’on appelle rĂ©guliĂšrement le bonheur. De ce fait, la vie de l’homme s’organise, consciemment ou non, autour de cette visĂ©e du bonheur. Est-ce Ă  dire que l’homme a l’obligation d’ĂȘtre heureux ? Si l’on prend le terme en un sens moral, il semble que le devoir de tout faire pour ĂȘtre heureux n’existe pas en effet, nos devoirs s’adressent principalement Ă  autrui et, dans le cas prĂ©sent, on ne voit pas bien de quelle violation d’un principe moral autrui pourrait ĂȘtre victime si je ne fais pas tout pour ĂȘtre heureux. Dans le mĂȘme temps, ne peut-on pas considĂ©rer qu’il existe une forme de devoir envers soi-mĂȘme qui nous ordonne de fuir le malheur, d’entretenir l’espoir et de mener son existence selon l’idĂ©e que l’on se fait d’une vie bonne, digne d’ĂȘtre vĂ©cue ?Mais si l’on entend ici qu’il s’agit de se donner tous les moyens possibles pour ĂȘtre heureux, le verbe devoir prend le sens d’un impĂ©ratif pratique et le problĂšme devient tout autre. En effet, il faut travailler Ă  son bonheur, s’en donner les moyens pour parvenir aux buts auxquels on identifie l’obtention du bonheur. Cependant, rien ne la garantie jamais car, premiĂšrement, il n’existe pas de recette tout faite, toute prĂȘte pour le bonheur et, deuxiĂšmement, parce que la visĂ©e effrĂ©nĂ©e du bonheur risque d’entretenir une Ă©tat d’insatisfaction permanent incompatible avec sa dĂ©finition mĂȘme
Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie L Les Ɠuvres d’art Ă©duquent-elles notre perception ?Introduction/ProblĂ©matisation. La perception dĂ©signe d'abord notre maniĂšre de prendre conscience de la rĂ©alitĂ© qui nous entoure Ă  travers nos sens. Percevoir, c'est, en un sens, sentir. Or l'art s'adresse prĂ©cisĂ©ment Ă  notre sensibilitĂ©. C'est un objet matĂ©riel, sensible prĂ©cisĂ©ment et qui en tant que tel va prĂ©cisĂ©ment ĂȘtre perçu. DĂšs lors, on peut se demander dans quelle mesure l'Ɠuvre d'art Ă©duque notre perception. Cette question a deux significations d'une part il s'agit de savoir si la perception peut s'Ă©duquer ? Est-elle donnĂ©e, et donc immuable, ou au contraire acquise et pouvant alors subir une Ă©ducation et une Ă©volution? D'autre part, la question est aussi de savoir si l'Ɠuvre d'art reprĂ©sente le bon outil pour une Ă©ducation de la perception. Dans la mesure oĂč l'Ɠuvre d'art est fictive, produit de l'imagination, ne risque-t-elle pas au contraire de dĂ©former notre perception ?Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site AĂŻda N'DiayeCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie L Explication de texte Karl Popper, La connaissance objective, 1972Introduction/ProblĂ©matisation. Ce texte fait deux choses d'une part, Popper dĂ©finit ce qu'il faut entendre par dĂ©terminisme physique, d'autre part, il en fait la critique. D'une part, donc, il s'agit bien de montrer que le dĂ©terminisme peut prendre plusieurs significations. Ce Ă  quoi s'intĂ©resse ici Popper est l'un de ces sens, le dĂ©terminisme physique dont il faudra donc prĂ©ciser la signification. D'autre part, il s'agit pour Popper d'en faire la critique. A travers la dĂ©finition qu'il en donne et les implications qu'il en tire, Popper cherche Ă  nous montrer que ce dĂ©terminisme constitue un vĂ©ritable "cauchemar" dans la mesure oĂč il implique que nous ne sommes absolument pas libres mais ne sommes que de "petits rouages". Il s'agit donc pour Popper de montrer en quoi les implications de ce dĂ©terminisme rendent celui-ci intenable. Pour cela, le texte est assez clairement structurĂ© en trois paragraphes
Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site AĂŻda N'DiayeCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie ES Suffit-il d'avoir le choix pour ĂȘtre libre ?Introduction/ - 399, Socrate est condamnĂ© Ă  mort au motif qu'il a corrompu la jeunesse et qu'il n'a pas respectĂ© les dieux de la citĂ©. Mais ses amis le pressent de quitter AthĂšnes pour Ă©chapper Ă  cette sentence injuste. Socrate pourtant refuse il dĂ©cide de se donner la mort en buvant la ciguĂ«. Cet Ă©pisode cĂ©lĂšbre de l'histoire de la philosophie donne Ă  rĂ©flĂ©chir Socrate, en se suicidant a-t-il agi librement ? Son choix est-il bien celui d'un homme libre ?Choisir, c'est opter, donner sa prĂ©fĂ©rence Ă  une chose plutĂŽt qu'Ă  une autre. Se demander si avoir le choix suffit Ă  ĂȘtre libre revient Ă  faire du choix l'essence de la libertĂ©. Mais ainsi formulĂ© le sujet jette le doute sur cette identification. De fait si, lors d'une exĂ©cution capitale, on laisse au condamnĂ© le choix du mode d'exĂ©cution de la sentence, le choix n'est-il pas un faux choix ? Saint Paul en dĂ©cidant d'ĂȘtre dĂ©capitĂ© plutĂŽt que crucifiĂ©, parce qu'en tant que citoyen romain, ce choix lui est offert, aurait sans doute prĂ©fĂ©rĂ© rester en vie pour continuer sa mission Ă©vangĂ©lisatrice. Il semble donc qu' avoir le choix ne suffit pas Ă  ĂȘtre libre. Peut-on soutenir pour autant que renoncer Ă  choisir est un gage de libertĂ© ? On se doute que non car si ce renoncement est volontaire, il est encore le produit d'un choix et s'il ne l'est pas, il y a contrainte donc absence de libertĂ©. Tout le problĂšme consiste donc Ă  savoir si on peut dĂ©terminer a priori le choix pour que celui-ci garantisse notre libertĂ© Comment savoir si un choix est rationnel ou pas ? N'est-ce pas toujours a posteriori qu'on peut juger que tel ou tel choix Ă©tait bien celui d'un homme libre ? Bref, si le choix n'est pas suffisant pour ĂȘtre libre, n'est-ce pas toujours Ă  lui qu'il faut revenir pour signifier notre libertĂ© ? Plus classiquement, on demandera si la libertĂ© est rĂ©ductible au seul libre-arbitre
Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site Nicolas TenaillonCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie ES Pourquoi chercher Ă  se connaĂźtre soi-mĂȘme ?Introduction/ProblĂ©matisation. Dans son Apologie de Socrate, Platon rapporte que la Pythie, prĂȘtresse du temple d'Apollon Ă  Delphes avait affirmĂ© que Socrate Ă©tait le plus sage des Grecs. Or au fronton de ce mĂȘme temple Ă©tait gravĂ©e la formule "Connais-toi toi-mĂȘme". Peut-on en dĂ©duire que Socrate avait tirĂ© sa sagesse de la connaissance qu'il avait de lui-mĂȘme ? Au fond pourquoi se connaĂźtre soi-mĂȘme ?L'intĂ©rĂȘt que nous portons Ă  nous-mĂȘmes ne fait guĂšre de doute ? Le goĂ»t du miroir, des arbres gĂ©nĂ©alogiques, des rĂ©seaux sociaux oĂč nous nous affichons, montre assez que nous sommes pour nous-mĂȘmes un intĂ©rĂȘt majeur. Mais ce rapport insatiable Ă  soi relĂšve-t-il bien de la connaissance ? Ne s'agit-il pas plutĂŽt d'une tendance au narcissisme ? Comment donc dĂ©mĂȘler dans les causes qui nous incitent Ă  nous observer nous-mĂȘmes celles qui sont subies et celles qui sont choisies ? Au fond il s'agit de savoir si la connaissance de soi peut servir un but louable ou si elle ne fait que nous enfermer dans notre ĂȘtre au point, paradoxalement, de nous y aliĂ©ner. Ou pour le dire autrement Quelle valeur attribuer Ă  l'introspection ?On se demandera par consĂ©quent si la quĂȘte de la connaissance de soi est naturelle, pourquoi elle peut ĂȘtre aliĂ©nante et comment elle peut ĂȘtre le plan dĂ©taillĂ© sur le site Nicolas TenaillonCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie ES Explication de texte Hannah Arendt, Condition de l’homme moderne, 1958Introduction/ProblĂ©matisation. Ce texte a pour thĂšme l’évolution technique et aborde la question de la diffĂ©rence entre l’outil et la machine. Selon Arendt, cette diffĂ©rence apparaĂźt dans le fait mĂȘme de poser une question Ă  propos de la machine qu’on n’avait pas eu l’idĂ©e de poser Ă  propos de l’outil est-ce Ă  la machine de s’adapter Ă  l’homme ou Ă  celui-ci de s’adapter Ă  la machine ? Pour l’auteur, cette question, en tant que telle, n’est pas intĂ©ressante et l’on ne doit pas y apporter de rĂ©ponse. En revanche, le fait qu’on la pose rĂ©vĂšle une diffĂ©rence fondamentale qui constitue la thĂšse de l’extrait prĂ©sentĂ© durant le processus de fabrication, l’opĂ©rateur est entiĂšrement au service de la machine alors que l’outil, lui, demeure au service de l’ouvrier. En arriĂšre plan de cette observation, nous voyons apparaĂźtre une diffĂ©rence de relation fondamentale de l’homme Ă  la technique selon qu’il s’agit de machine ou d’outils. Partant, ce texte nous invite donc Ă  caractĂ©riser l’outil par rapport Ă  la machine et Ă  repĂ©rer une rupture dans l’évolution technique puisque l’une n’apparaĂźt plus seulement comme l’amplification de l’autre la machine n’est pas seulement un outil plus performant mais un objet d’une autre nature, ayant des implications anthropologiques trĂšs le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie S Vivons-nous pour ĂȘtre heureux ?Introduction/ sujet soulĂšve une problĂ©matique assez classique sur le bonheur celle de savoir quelle place nous devons/pouvons lui accorder dans nos existences. Le bonheur constitue d'une part une fin lĂ©gitime et mĂȘme universelle. On ne peut reprocher Ă  personne de vivre pour ĂȘtre heureux, c'est-Ă -dire de chercher Ă  atteindre le bonheur, et l'on peut mĂȘme donner Ă  cette affirmation une portĂ©e universelle oui, nous vivons tous, universellement, pour ĂȘtre heureux, tant il est vrai que la dĂ©finition du bonheur est suffisamment relative Ă  chacun pour que l'on puisse dire que tous les hommes veulent ĂȘtre heureux, quelqu'en soit la dans le mĂȘme temps, le bonheur est une fin incertaine. Vivre pour ĂȘtre heureux, cela signifie aussi chercher le bonheur Ă  tout prix, ne vivre que pour ça. Or, pouvons-nous ainsi tout sacrifier pour le bonheur? Le bonheur constitue-t-il la seule et unique fin de notre existence? Il y a en effet d'autres buts que l'homme, en tant qu'ĂȘtre raisonnable, peut poursuivre et qui peuvent aller Ă  l'encontre de leur bonheur individuel la vertu, la connaissance, la citoyennetĂ©, la libertĂ©.... Ainsi le bonheur est-il bien la seule fin de notre existence, au dĂ©triment de toutes les autres, oĂč notre humanitĂ© se joue aussi?... Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site AĂŻda N'DiayeCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie S L’artiste est-il maĂźtre de son oeuvre ?Introduction/ProblĂ©matisation. On dit souvent d’une Ɠuvre d’art qu’elle a un auteur et qu’elle appartient Ă  un ensemble constituant l’Ɠuvre d’un artiste. Celui-ci est aussi considĂ©rĂ© comme possĂ©dant des dons techniques et un talent lui permettant de donner forme Ă  ses inspirations. Sa supĂ©rioritĂ© par rapport au commun des mortels tient prĂ©cisĂ©ment Ă  cette facultĂ© d’imposer Ă  un support la forme qu’il souhaite pour crĂ©er un Ɠuvre inĂ©dite, reprĂ©sentant ses aspirations. Par ces diffĂ©rents aspects, l’artiste s’apparente Ă  un maĂźtre. Mais la maĂźtrise technique ne constitue pas le seul aspect de la relation Ă  l’Ɠuvre, sinon l’artiste ne se distinguerait pas rĂ©ellement de l’artisan. Se demander si l’artiste est le maĂźtre de son Ɠuvre revient donc Ă  interroger la spĂ©cificitĂ© de la notion d’auteur et Ă  voir si elle s’apparente une relation de maĂźtrise, entendue aussi comme contrĂŽle et possession de quelque chose. Or, si l’artiste est bien un maĂźtre dans son domaine, il ne va pas de soi qu’il soit le maĂźtre de son Ɠuvre dans la mesure oĂč elle lui Ă©chappe de plusieurs maniĂšres et c’est, justement, en cela que rĂ©side la particularitĂ© de la dĂ©finition de l’artiste. En premier lieu
Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie S Explication de texte RenĂ© Descartes, RĂšgles pour la direction de l’esprit, 1628Introduction/ est la meilleure mĂ©thode Ă  adopter pour faire progresser les connaissances ? Y a-t-il des rĂšgles simples, facilement assimilables qui permettraient d'orienter toute recherche nouvelle ? Et si oui, pourquoi n'ont-elles pas Ă©tĂ© fixĂ©es par les Anciens ? Dans ce texte de jeunesse de Descartes, philosophe et mathĂ©maticien, texte extrait des RĂšgles pour la direction de l'esprit, apparaĂźt dĂ©jĂ  tout l'enthousiasme du futur auteur du Discours de la mĂ©thode. Le pĂšre du rationalisme y propose en effet un nouveau paradigme pour fonder notre savoir le paradigme mathĂ©matique. Pourtant Platon avait dĂ©jĂ  affirmer l'importance de la connaissance des mathĂ©matiques comme condition de la connaissance puisqu'il avait fait graver au fronton de l'AcadĂ©mie "Que nul n'entre ici s'il est gĂ©omĂštre". En quoi donc le texte de Descartes est-il rĂ©ellement innovant ?Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site Nicolas TenaillonCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie techno Les Ă©changes sont-ils toujours intĂ©ressĂ©s ?Introduction/ dĂ©finition, l’échange reprĂ©sente un acte de transaction entre au moins deux parties l’une donne quelque chose un objet, un bien, un service, une parole et reçoit en retour quelque chose de la part de l’autre, et rĂ©ciproquement. Or, lorsque l’on donne en vue de recevoir, cela prĂ©suppose que nous avons effectuĂ© une sorte de calcul Ă  l’avance et que nous avons prĂ©vu d’obtenir quelque chose, de tirer avantage de la situation. Autrement dit, nous sommes intĂ©ressĂ©s Ă  l’échange, nous satisfaisons un intĂ©rĂȘt propre en Ă©changeant avec autrui, l’intĂ©rĂȘt dĂ©signant l’avantage que nous espĂ©rons pour nous-mĂȘmes. L’exemple type est, bien entendu, celui de l’échange au sens Ă©conomique du terme qui n’est jamais gratuit, donc jamais peut-on toujours rapporter l’échange Ă  la poursuite d’un intĂ©rĂȘt ? Il semble que cela ne soit pas exemple, l’échange verbal – la communication – n’est pas toujours orientĂ©e par la recherche de l’intĂ©rĂȘt personnel. Il nous arrive de parler pour le plaisir de parler sans que nous ayons par avance dĂ©terminer ce que cela allait nous rapporter. Mais, prĂ©cisĂ©ment, dans ce cas, ne s’agit-il pas d’une forme d’illusion que de croire qu’un Ă©change puisse ainsi ĂȘtre dĂ©sintĂ©ressĂ© ? Ne faut-il pas affirmer que nous avons toujours un intĂ©rĂȘt quelconque, mĂȘme inconscient, Ă  pratiquer l’échange ? À moins que nous puissions proposer une autre dĂ©finition de l’échange, qui n’impliquerait pas nĂ©cessairement une rĂ©ciprocitĂ© automatique entre les parties et, dans ce cas-lĂ , l’échange pourrait peut-ĂȘtre se rapprocher de la dĂ©finition du le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie techno Une vĂ©ritĂ© peut-elle ĂȘtre dĂ©finitive ?Introduction/ProblĂ©matisation. La question peut, Ă  premiĂšre vue, semblĂ©e curieuse. En effet, une vĂ©ritĂ© est une affirmation conforme Ă  la rĂ©alitĂ© qui, pour ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme telle, doit ĂȘtre valable universellement tout le temps, partout et pour tout le monde. Le fait qu’elle soit dĂ©finitive est impliquĂ© par sa dĂ©finition mĂȘme. Une vĂ©ritĂ© qui changerait avec le temps ne serait qu’une opinion provisoirement considĂ©rĂ©e comme vraie, c’est-Ă -dire seulement vraisemblable ou probable, et donc pas rĂ©ellement une disposons-nous de telles vĂ©ritĂ©s ? L’histoire du progrĂšs des connaissances et de la science fourmille d’exemples de prĂ©tendues vĂ©ritĂ©s considĂ©rĂ©es comme telles pendant des siĂšcles soudainement contestĂ©es, abandonnĂ©es et remplacĂ©es par d’autres. Quelle garantie avons-nous donc du caractĂšre dĂ©finitif de nos vĂ©ritĂ©s ? Une vĂ©ritĂ© n’est-elle pas toujours provisoire, autrement dit n’est-elle valable que tant qu’elle nous rend service ou qu’il n’a pas Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© qu’elle Ă©tait fausse ?Retrouvez le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxCorrigĂ© Bac Philo SĂ©rie techno Explication de texte Gorgias, PlatonRĂ©ponse Ă  la premiĂšre question La thĂšse de ce texte est originale Socrate amĂšne son interlocuteur Ă  reconnaĂźtre que celui qui commet l’injustice et qui en tire des bĂ©nĂ©fices est, en rĂ©alitĂ©, plus malheureux encore que sa victime. Ou pour le dire autrement, l’injuste est aussi victime de son injustice. Cette thĂšse s’accorde bien Ă  une autre remarque de Socrate selon laquelle il vaut mieux subir l’injustice que de la Socrate, Ă©chapper Ă  la punition n’est pas une chance mais une tragĂ©die. Pour le montrer, il fait un parallĂšle avec le cas de la maladie quand on est malade, rien de mieux ne peut nous arriver que d’ĂȘtre guĂ©ri, mĂȘme si le traitement est douloureux. Il en est de mĂȘme avec l’injustice le chĂątiment nous guĂ©rit de l’injustice en nous faisant connaĂźtre en quoi consiste la le plan dĂ©taillĂ© sur le site Mathias RouxAvertissement il ne s’agit ici que de pistes de rĂ©flexion et non d’une copie type nĂ©cessairement attendue par vos correcteurs. D’autres approches, d’autres thĂšses et arguments sont du Bac Ă©preuves / Les sujets probables du Bac / Les rĂ©sultats du Bac 9 Citations sur la vĂ©ritĂ© et la libertĂ© : La vĂ©ritĂ© libĂšre alors que le secret dirige notre vie. ~ John Bradshaw. La vĂ©ritĂ© te rendra libre, mais d’abord, elle te foutra en rogne. ~ Anonyme. Savoir se contredire est un exercice

Bonsoir ! Ton plan Ă  l'air bien, il suit le schĂ©ma thĂšse, antithĂšse, synthĂšse j'ai l'impression. Je voulais juste te dire que tu pouvais parler de la relativitĂ© par exemple, la vĂ©ritĂ© est une perception des choses de chacun. Lors d'une dispute, chacun voit sa vĂ©ritĂ©, et pourtant les faits restent les mĂȘmes. Tu peux aussi parler de si il existe une vĂ©ritĂ© universelle, gĂ©nĂ©rale, comme par exemple les sciences, on accepte cette vĂ©ritĂ©, mais est-ce vraiment vrai ? Enfin, ce ne sont que des idĂ©es comme ça, je suis dĂ©solĂ©e de ne pas plus pouvoir t'aider, si je pense Ă  autre chose je reviendrais PS ; il y a plein de site sur internet qui exprime leur point de vue sur le sujet, tu peux peut-ĂȘtre t'en inspirer pour donner des exemples ? Bonne chance pour ta dissertation !

Siles croyances religieuses peuvent aider Ă  donner un sens Ă  la vie, il n’existe aucun moyen de tester ces rĂ©ponses qui peuvent varier Ă  l’infini. Si n’importe quelle rĂ©ponse est possible, cela Ă©quivaut Ă  une absence de rĂ©ponse. Ces rĂ©ponses ne complĂštent pas les inconnues de la science puisqu’elles ne se situent pas sur le plan des connaissances Comment Dieu, s’il est amour et perfection, aurait-il mis sur le chemin des hommes un ĂȘtre plus puissant qu’eux pour les tenter sans cesse et les pousser Ă  leur perte ? Il est temps que l’humanitĂ© sache qu’il n’existe aucun esprit qui reprĂ©sente ou soit Ă  l’origine du mal. Le mal a surgi de l’homme, de ses faiblesses, et au fur et Ă  mesure que l’humanitĂ© a grandi en nombre et en imperfections, la force du mal et son influence ont augmentĂ©. Cette force, formĂ©e par les pensĂ©es, les idĂ©es, les sentiments et les passions, commença dĂšs l’origine des temps Ă  faire sentir son influence parmi les hommes. Mais ceux-ci imaginĂšrent qu’un esprit malfaisant Ă©tait la cause de cette influence. Ils en arrivĂšrent mĂȘme Ă  lui donner un nom et Ă  le personnifier comme s’il s’agissait d’une puissance capable de rivaliser avec l’Esprit CrĂ©ateur. De nos jours encore, les Hommes ne peuvent penser Ă  Dieu sans le matĂ©rialiser d’une façon ou d’une autre. De mĂȘme qu’ils ne peuvent parler de tentations sans personnifier l’influence du mal comme un ĂȘtre dont la mission serait de perdre les esprits. Pourquoi n’appellent-ils pas Ă©galement dĂ©mons les ĂȘtres humains qui sur terre les tentent, les incitent au mal et les Ă©loignent du chemin vĂ©ritable ? Comme les esprits perturbĂ©s de l’espace, ces hommes sont Ă©galement des esprits imparfaits qui possĂšdent un pouvoir parce qu’un idĂ©al de grandeur s’est emparĂ© d’eux. En vĂ©ritĂ©, Dieu n’a d’ennemis ni sur Terre ni dans l’au-delĂ . Il n’y a aucun ĂȘtre nulle part qui se consacre Ă  Le haĂŻr, Ă  blasphĂ©mer ou Ă  faire du mal Ă  ses semblables pour le plaisir de L’offenser. Ceux qui choisissent le mauvais chemin entraĂźnant leurs semblables dans leurs erreurs et qui luttent contre le spirituel, ne le font pas pour offenser Dieu mais parce que cela convient Ă  leurs ambitions terrestres et Ă  leurs rĂȘves de gloire humaine. On a toujours mal interprĂ©tĂ© l’existence d’un soi-disant prince des tĂ©nĂšbres. Certains en sont mĂȘme arrivĂ©s Ă  croire plus en son pouvoir qu’en celui de l’unique et vĂ©ritable Esprit CrĂ©ateur. Des siĂšcles d’ignorance Ă  ce sujet ont voilĂ© la vĂ©ritĂ©. Il est vrai, bien sĂ»r, que le mal existe. De lui dĂ©coulent tous les vices. Et ceux qui s’y adonnent ont toujours existĂ©, aussi bien sur terre que dans d’autres mondes. Mais pourquoi personnifier tout le mal en un seul ĂȘtre et pourquoi l’affronter Ă  la DivinitĂ© ? Que reprĂ©sente un ĂȘtre impur face au pouvoir absolu et infini, et que signifie le pĂ©chĂ© face Ă  la perfection ? Le pĂ©chĂ© n’est pas nĂ© dans le monde. AprĂšs avoir jailli de Dieu, certains esprits restĂšrent dans le chemin du bien tandis que d’autres en créÚrent un diffĂ©rent. Les rĂ©vĂ©lations au sens figurĂ© qui furent reçues dans les premiers temps de l’humanitĂ© ont Ă©tĂ© mal interprĂ©tĂ©es. L’intuition que les Hommes eurent du surnaturel resta influencĂ©e par leur imagination et il en arrivĂšrent Ă  inventer autour de la force du mal, des sciences, des cultes, des superstitions et des mythes qui sont parvenus jusqu’à nos jours. Si Dieu est Ă  l’origine de toute crĂ©ature existante, et s’Il est Amour et Perfection, Il ne peut avoir engendrĂ© aucun dĂ©mon. Et aucun ĂȘtre ne peut exister hors de Lui comme rival et adversaire. Le concept d’un personnage qui Le dĂ©fierait Ă©ternellement est erronĂ©. Comment peut-on concevoir que Dieu ait pu mettre sur le chemin des hommes un ĂȘtre infiniment plus puissant qu’eux pour les tenter sans cesse et les pousser Ă  leur perte ? Comment ceux qui, Ă  travers certaines religions, disent aimer Dieu et le connaĂźtre, peuvent-ils penser si mal de Sa grandeur et Sa justice ? Il est certain qu’en ce monde, les mĂ©chants tentent les bons, les forts abusent des faibles, qu’on profite des innocents et que la puretĂ© est violĂ©e chaque jour. Mais ce sont lĂ  des tentations qui peuvent ĂȘtre vaincues. Les hommes possĂšdent contre cela des armes pour lutter et se dĂ©fendre. La conscience, e n premier lieu, et ensuite la morale, la foi et la raison. Pour ne pas se laisser sĂ©duire par les mauvaises influences, ils doivent en plus pratiquer la vertu et la semer avec leurs oeuvres. Pour se libĂ©rer des tentations et des influences malĂ©fiques, qui proviennent aussi bien des ĂȘtres humains que spirituels, il faut aussi apprendre Ă  prier et faire en sorte que l’esprit domine la chair. Celle-ci est faible et en danger si l’on ne veille par pour elle. Le coeur, le cerveau et les sens sont des portes ouvertes aux passions du monde qui affligent l’esprit. Le mal, en effet, a surgi de l’Homme, et Ă  mesure que l’humanitĂ© s’est multipliĂ©e en nombre, ainsi que ses imperfections et ses faiblesses, la force ou l’influence du mal a augmentĂ©. Cette force formĂ©e par les pensĂ©es, les idĂ©es, les sentiments et les passions, commença Ă  se faire sentir entre les ĂȘtres humains. Et ceux-ci en arrivĂšrent Ă  croire qu’un esprit malfaisant Ă©tait sĂ»rement Ă  l’origine de ce mal. Ils lui accordĂšrent une existence propre et le reprĂ©sentĂšrent mĂȘme sous des formes, figures et numĂ©ros symboliques. Et beaucoup lui rendent encore un culte. Il est temps que cette confusion cesse et que se dissipent les fausses interprĂ©tations et les mythes d’un Ăąge rĂ©volu. Ils sont indignes de l’évolution spirituelle Ă  laquelle l’Homme est sensĂ© ĂȘtre parvenu en ce temps. Cet ĂȘtre imaginaire appelĂ© Lucifer ou Satan n’existe pas. Dieu n’a aucun rival ni adversaire. Et l’Homme n’a d’autres ennemis que ses faiblesses face aux influences nĂ©gatives qui l’assaillent. Contre ces influences, une bataille cruciale depuis toujours se livre. L’Homme finira par vaincre car si Dieu est l’Alfa et l’OmĂ©ga de toute chose, il ne peut rien y avoir hors de Lui, et tout esprit devra donc retourner en son sein. PartagĂ© par - Terre Nouvelle - Portail vers la SpiritualitĂ©Vous pouvez partager ce texte Ă  condition d’en respecter l’intĂ©gralitĂ© et de citer la pas, utilisez toujours votre discernement par rapport Ă  ces textes. Vous avez un Libre Arbitre, alors utilisez le et surtout, Ă©coutez ce que vous dicte votre coeur ; Il dĂ©tient la vĂ©ritĂ©, laissez le vous guider. Nest-ce pas la question des politiques qui s’occupent des choses sĂ©rieuses (les clameurs de la foule) pour ne pas entendre la parole de NSJC « Je suis venu rendre tĂ©moignage Ă  la VĂ©ritĂ© ». Si la vĂ©ritĂ© n’existe pas alors tout est permisrien ne peut s’opposer Ă  l’arbitraire du plus fort ! Jean Ousset dans son livre « Pour qu’Il [] Deplus s'il n'existe pas de vĂ©ritĂ© absolue, et que tout est relatif il n'y a plus de pensĂ©e. Car Ă  quoi cela servirait-il d'essayer de trouver la vĂ©ritĂ© s'il n'en existe pas ? Dans ce cas chacun penserait par soi-mĂȘme et il n'y aurait plus de rĂ©flexion collective Ă  la recherche d'une rĂ©ponse commune. Socrate ne pourrait donc plus Ilimporte sans doute que nos idĂ©es augmentent notre puissance d'agir; mais le pragmatisme a tort de faire du succĂšs une rĂšgle du vrai. Cette rĂšgle, il faut la chercher, au contraire, dans l'art de la preuve*. Il n'y a pas de vĂ©ritĂ© sans vĂ©rification*. 2. Deplus, si la Chine a ratifiĂ© la Convention pour la prĂ©vention et la rĂ©pression du crime de gĂ©nocide, elle ne reconnaĂźt pas non plus la compĂ©tence de la Cour internationale de justice – ce qui nous a posĂ© problĂšme lors de l'examen de la proposition de rĂ©solution relative Ă  la condamnation des crimes perpĂ©trĂ©s contre les OuĂŻghours. À cet Ă©gard, nous savons que la
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  • peut on soutenir que la veritĂ© n existe pas