ArticleL512-1 EntrĂ©e en vigueur 2017-03-01 Sont soumises Ă  autorisation les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts Temps de lecture 2 minutes CE 20 janvier 2014 M. B., req. n° 373220 MentionnĂ© aux Tables Par une dĂ©cision du 20 janvier 2014, le Conseil d’Etat a jugĂ© sur le fondement de l’article L. 214-3 II du code de l’environnement que l’autoritĂ© administrative Ă©tait dans l’obligation de s’opposer Ă  un projet mĂ©connaissant un schĂ©ma directeur d’amĂ©nagement et de gestion des eaux SDAGE, un schĂ©ma d’amĂ©nagement et de gestion des eaux SAGE ou un intĂ©rĂȘt mentionnĂ© Ă  l’article L. 211-1. En effet, il prĂ©cise qu’en cas d’atteinte Ă  un des documents prĂ©citĂ©s, si aucune prescription spĂ©ciale ne peut y remĂ©dier, il appartiendrait Ă  l’autoritĂ© administrative compĂ©tente de s’y opposer ». Le juge dĂ©duit alors de cette obligation qu’une dĂ©cision de non-opposition ne peut donc en aucun cas avoir une incidence sur l’environnement et n’est donc pas soumise Ă  une obligation d’information et de participation du public telle que prĂ©vue par l’article 7 de la Charte de l’environnement. Pourtant, l’article L. 214-3 II en cause indique seulement que l’autoritĂ© administrative peut s’opposer Ă  l’opĂ©ration projetĂ©e s’il apparaĂźt qu’elle est incompatible avec les dispositions du schĂ©ma directeur d’amĂ©nagement et de gestion des eaux ou du schĂ©ma d’amĂ©nagement et de gestion des eaux, ou porte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l’article L. 211-1 une atteinte d’une gravitĂ© telle qu’aucune prescription ne permettrait d’y remĂ©dier ». Eu Ă©gard Ă  la rĂ©daction du texte, il Ă©tait jusqu’alors possible de considĂ©rer que l’autoritĂ© administrative ne disposait que d’une simple facultĂ© d’opposition. Certaines dĂ©cisions mentionnaient d’ailleurs l’existence d’ un droit Ă  opposition » et non d’une obligation CE 27 juin 2007 Association nationale pour la protection des eaux et riviĂšres, req. n° 297531 MentionnĂ© aux Tables. Ce droit semble dĂ©sormais ĂȘtre une obligation. La dĂ©cision en cause est d’autant plus novatrice qu’en principe en matiĂšre de dĂ©cision d’opposition les textes ont une portĂ©e prĂ©cise. Par exemple, en matiĂšre d’urbanisme, l’article L. 421-7 du code de l’urbanisme impose Ă  l’autoritĂ© compĂ©tente de s’opposer Ă  la dĂ©claration prĂ©alable, si cette derniĂšre mĂ©connaĂźt la lĂ©gislation applicable en matiĂšre d’urbanisme[1]. Toutefois on pourrait considĂ©rer que la rĂ©cente dĂ©cision du Conseil d’Etat fait Ă©cho Ă  une jurisprudence constante applicable en matiĂšre d’installation classĂ©e pour la protection de l’environnement ICPE qui prĂ©voit que si le prĂ©fet s’abstient d’imposer des prescriptions particuliĂšres Ă  une installation mĂ©connaissant les prescriptions gĂ©nĂ©rales applicables, il engage la responsabilitĂ© de l’Etat CAA Bordeaux 25 fĂ©vrier 1993 Commune de Saint-PĂ©e-sur-Nivelle, req. n° 90BX00281 MentionnĂ© aux Tables. Pourtant, comme l’article L. 213-4 II, l’article L. 512-12 du code de l’environnement prĂ©voit que si les intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l’article L. 511-1 ne sont pas garantis par l’exĂ©cution des prescriptions gĂ©nĂ©rales contre les inconvĂ©nients inhĂ©rents Ă  l’exploitation d’une installation soumise Ă  dĂ©claration, le prĂ©fet, Ă©ventuellement Ă  la demande des tiers intĂ©ressĂ©s et aprĂšs avis de la commission dĂ©partementale consultative compĂ©tente, peut imposer par arrĂȘtĂ© toutes prescriptions spĂ©ciales nĂ©cessaires ». DĂšs lors, la dĂ©cision commentĂ©e a le mĂ©rite d’encadrer le pouvoir de l’autoritĂ© administrative en matiĂšre de dĂ©claration dite loi sur eau » mais elle lui ĂŽte Ă©galement tout pouvoir d’apprĂ©ciation. Avec cette dĂ©cision, un pas de plus est donc franchi vers la protection accrue de la ressource en eau
 [1] PrĂ©vue Ă  l’article L. 421-6 du code de l’urbanisme I-Les listes locales mentionnĂ©es au 2° du III et au IV de l'article L. 414-4 sont arrĂȘtĂ©es, aprĂšs avis du conseil scientifique rĂ©gional du patrimoine naturel, selon leurs domaines de compĂ©tences respectifs, soit : . 1° Par le prĂ©fet de dĂ©partement, aprĂšs consultation de la commission dĂ©partementale de la nature, des paysages et des sites rĂ©unie dans sa formation
ï»żVersion en vigueur depuis le 01 mars 2017ModifiĂ© par Ordonnance n°2017-80 du 26 janvier 2017 - art. 5Sont soumises Ă  autorisation les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l'article L. dĂ©nommĂ©e autorisation environnementale, est dĂ©livrĂ©e dans les conditions prĂ©vues au chapitre unique du titre VIII du livre Ă  l'article 15 de l'ordonnance n° 2017-80 du 26 janvier 2017, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mars 2017 sous rĂ©serves des dispositions citĂ©es audit article.
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2 Dans le pĂ©rimĂštre des sites patrimoniaux remarquables mentionnĂ©s Ă  l'article L. 631-1 du mĂȘme code ; 5° A moins de 100 mĂštres et dans le champ de visibilitĂ© des immeubles mentionnĂ©s au II de l'article L. 581-4 ; 8° Dans les zones spĂ©ciales de conservation et dans les zones de protection spĂ©ciales mentionnĂ©es Ă  l'article L. 414-1. Sont soumises Ă  autorisation prĂ©fectorale les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts visĂ©s Ă  l'article L. ne peut ĂȘtre accordĂ©e que si ces dangers ou inconvĂ©nients peuvent ĂȘtre prĂ©venus par des mesures que spĂ©cifie l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral. Le demandeur fournit une Ă©tude de dangers qui prĂ©cise les risques auxquels l'installation peut exposer, directement ou indirectement, les intĂ©rĂȘts visĂ©s Ă  l'article L. 511-1 en cas d'accident, que la cause soit interne ou externe Ă  l'installation. Le contenu de l'Ă©tude de dangers doit ĂȘtre en relation avec l'importance des risques engendrĂ©s par l'installation. En tant que de besoin, cette Ă©tude donne lieu Ă  une analyse de risques qui prend en compte la probabilitĂ© d'occurrence, la cinĂ©tique et la gravitĂ© des accidents potentiels selon une mĂ©thodologie qu'elle explicite. Elle dĂ©finit et justifie les mesures propres Ă  rĂ©duire la probabilitĂ© et les effets de ces accidents. La dĂ©livrance de l'autorisation, pour ces installations, peut ĂȘtre subordonnĂ©e notamment Ă  leur Ă©loignement des habitations, immeubles habituellement occupĂ©s par des tiers, Ă©tablissements recevant du public, cours d'eau, voies de communication, captages d'eau, ou des zones destinĂ©es Ă  l'habitation par des documents d'urbanisme opposables aux tiers. Elle prend en compte les capacitĂ©s techniques et financiĂšres dont dispose le demandeur, Ă  mĂȘme de lui permettre de conduire son projet dans le respect des intĂ©rĂȘts visĂ©s Ă  l'article L. 511-1 et d'ĂȘtre en mesure de satisfaire aux obligations de l'article L. 512-6-1 lors de la cessation d'activitĂ©.
Sioui, le projet est considĂ©rĂ© rĂ©glementairement comme une modification de l’autorisation (article R512-33-II du code de l’environnement) et il sera soumis Ă  l’avis de l’inspection des
Les installations sont soumises aux dispositions des articles L. 211-1, L. 212-1 Ă  L. 212-11, L. 214-8, L. 216-6, L. 216-13, L. 231-1 et L. 231-2, ainsi qu'aux mesures prises en application des dĂ©crets prĂ©vus au 1° du II de l'article L. 211-3. Les prescriptions gĂ©nĂ©rales mentionnĂ©s aux articles L. 512-5, L. 512-7 et L. 512-10 fixent les rĂšgles applicables aux installations ayant un impact sur le milieu aquatique pour la protection des intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l'article L. 211-1, notamment en ce qui concerne leurs rejets et prĂ©lĂšvements.
CescontrĂŽles sont effectuĂ©s Ă  l’initiative et aux frais de l’exploitant par des organismes agréés (article L512-11 du code de l'environnement). La pĂ©riodicitĂ© du contrĂŽle est de 5 ans maximum, sauf cas particulier (article R512-57 du code de l'environnement). Le premier contrĂŽle d’une installation doit avoir lieu dans les six mois qui suivent sa mise en service, sauf situation
En direct MID Paris Classement des promoteurs Crise des matĂ©riaux RE 2020 Majors du BTP Accueil > ModalitĂ©s de rĂ©habilitation des friches industrielles par un tiers application de l'article L. 512-21 du code de l'environnement le 20/08/2015 Environnement Ma newsletter personnalisĂ©eAjouter ces thĂšmes Ă  ma newsletter personnalisĂ©e Pour lire l’intĂ©gralitĂ© de cet article, testez gratuitement - Ă©dition AbonnĂ© DÉCRET n°2015-1004 du 18 aoĂ»t 2015 ‱ MinistĂšre de l'Ă©cologie, du dĂ©veloppement durable et de l'Ă©nergie ‱ JO du 20 aoĂ»t 2015 - NOR DEVP1501385D Publics concernĂ©s exploitants d'installations classĂ©es pour la protection de l'environnement, amĂ©nageurs, [...] Cet article est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Moniteur, abonnez-vous ou connectez-vous pour lire l’intĂ©gralitĂ© de l’ encore abonnĂ©En vous abonnant au Moniteur, vous bĂ©nĂ©ficiez de La veille 24h/24 sur les marchĂ©s publics et privĂ©sL’actualitĂ© nationale et rĂ©gionale du secteur du BTPLa boite Ă  outils rĂ©glementaire marchĂ©s, urbanismes, environnementLes services indices-indexLes bonnes raisons de s’abonnerAu Moniteur La veille 24h/24 sur les marchĂ©s publics et privĂ©s L’actualitĂ© nationale et rĂ©gionale du secteur du BTP La boite Ă  outils rĂ©glementaire marchĂ©s, urbanismes, environnement Les services indices-index Je m’abonne
Pourl'application de la présente section, sont considérés comme : 1° " Equipements " les systÚmes de réfrigération, de climatisation, y compris les pompes à chaleur, les systÚmes thermodynamiques, notamment les cycles organiques de Rankine au sens de l'article 2 du rÚglement (UE) n° 517/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux
Le Code de l'environnement regroupe les lois relatives au droit de l'environnement français. Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de l'environnement ci-dessous Article L512-12-1 EntrĂ©e en vigueur 2020-12-09 Lorsque l'installation soumise Ă  dĂ©claration est mise Ă  l'arrĂȘt dĂ©finitif, l'exploitant place le site dans un Ă©tat tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l'article L. 511-1 et qu'il permette un usage futur comparable Ă  la derniĂšre pĂ©riode d'activitĂ© de l'installation. Il en informe le propriĂ©taire du terrain sur lequel est sise l'installation ainsi que le maire ou le prĂ©sident de l'Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tent en matiĂšre d'urbanisme. Selon les modalitĂ©s et dans les cas dĂ©finis par dĂ©cret en Conseil d'Etat, l'exploitant fait attester de la mise en oeuvre des mesures relatives Ă  la mise en sĂ©curitĂ© du site par une entreprise certifiĂ©e dans le domaine des sites et sols polluĂ©s ou disposant de compĂ©tences Ă©quivalentes en matiĂšre de prestations de services dans ce domaine.
ArticleL512-1 du Code de l'environnement - Sont soumises Ă  autorisation les installations qui prĂ©sentent de graves dangers ou inconvĂ©nients pour les intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l'article L. 511-1. L'autorisation, dĂ©nommĂ©e autorisation environnementale, est dĂ©livrĂ©e dans les conditions prĂ©vues au chapitre unique du titre VIII Actions sur le document Article L512-12-1 Lorsque l'installation soumise Ă  dĂ©claration est mise Ă  l'arrĂȘt dĂ©finitif, l'exploitant place le site dans un Ă©tat tel qu'il ne puisse porter atteinte aux intĂ©rĂȘts mentionnĂ©s Ă  l'article L. 511-1 et qu'il permette un usage futur comparable Ă  la derniĂšre pĂ©riode d'activitĂ© de l'installation. Il en informe le propriĂ©taire du terrain sur lequel est sise l'installation ainsi que le maire ou le prĂ©sident de l'Ă©tablissement public de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tent en matiĂšre d'urbanisme. DerniĂšre mise Ă  jour 4/02/2012 linitiative et aux frais de l’exploitant par des organismes agréés (article L512-11 du code de l'environnement). La pĂ©riodicitĂ© du contrĂŽle est de 5 ans maximum, sauf cas particulier (article R512-57 du code de l'environnement). Le premier contrĂŽle d’une installation doit avoir lieu dans les six mois qui suivent sa mise en service Au sens du prĂ©sent chapitre, on entend par DĂ©chet toute substance ou tout objet, ou plus gĂ©nĂ©ralement tout bien meuble, dont le dĂ©tenteur se dĂ©fait ou dont il a l'intention ou l'obligation de se dĂ©faire ;PrĂ©vention toutes mesures prises avant qu'une substance, une matiĂšre ou un produit ne devienne un dĂ©chet, lorsque ces mesures concourent Ă  la rĂ©duction d'au moins un des items suivants - la quantitĂ© de dĂ©chets gĂ©nĂ©rĂ©s, y compris par l'intermĂ©diaire du rĂ©emploi ou de la prolongation de la durĂ©e d'usage des substances, matiĂšres ou produits ;- les effets nocifs des dĂ©chets produits sur l'environnement et la santĂ© humaine ;- la teneur en substances dangereuses pour l'environnement et la santĂ© humaine dans les substances, matiĂšres ou produits ;RĂ©emploi toute opĂ©ration par laquelle des substances, matiĂšres ou produits qui ne sont pas des dĂ©chets sont utilisĂ©s de nouveau pour un usage identique Ă  celui pour lequel ils avaient Ă©tĂ© conçus ;Gestion des dĂ©chets le tri Ă  la source, la collecte, le transport, la valorisation, y compris le tri, et, l'Ă©limination des dĂ©chets et, plus largement, toute activitĂ© participant de l'organisation de la prise en charge des dĂ©chets depuis leur production jusqu'Ă  leur traitement final, y compris la surveillance des installations de stockage de dĂ©chets aprĂšs leur fermeture, conformĂ©ment aux dispositions relatives aux installations classĂ©es pour la protection de l'environnement, ainsi que les activitĂ©s de nĂ©goce ou de courtage et la supervision de l'ensemble de ces opĂ©rations ;Producteur de dĂ©chets toute personne dont l'activitĂ© produit des dĂ©chets producteur initial de dĂ©chets ou toute personne qui effectue des opĂ©rations de traitement des dĂ©chets conduisant Ă  un changement de la nature ou de la composition de ces dĂ©chets producteur subsĂ©quent de dĂ©chets ;DĂ©tenteur de dĂ©chets producteur des dĂ©chets ou toute autre personne qui se trouve en possession des dĂ©chets ;Collecte toute opĂ©ration de ramassage des dĂ©chets en vue de leur transport vers une installation de traitement des dĂ©chets ;Traitement toute opĂ©ration de valorisation ou d'Ă©limination, y compris la prĂ©paration qui prĂ©cĂšde la valorisation ou l'Ă©limination ;RĂ©utilisation toute opĂ©ration par laquelle des substances, matiĂšres ou produits qui sont devenus des dĂ©chets sont utilisĂ©s de nouveau ;PrĂ©paration en vue de la rĂ©utilisation toute opĂ©ration de contrĂŽle, de nettoyage ou de rĂ©paration en vue de la valorisation par laquelle des substances, matiĂšres ou produits qui sont devenus des dĂ©chets sont prĂ©parĂ©s de maniĂšre Ă  ĂȘtre rĂ©utilisĂ©s sans autre opĂ©ration de prĂ©traitement ;Recyclage toute opĂ©ration de valorisation par laquelle les dĂ©chets, y compris les dĂ©chets organiques, sont retraitĂ©s en substances, matiĂšres ou produits aux fins de leur fonction initiale ou Ă  d'autres fins. Les opĂ©rations de valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets, celles relatives Ă  la conversion des dĂ©chets en combustible et les opĂ©rations de remblayage ne peuvent pas ĂȘtre qualifiĂ©es d'opĂ©rations de recyclage ;Valorisation toute opĂ©ration dont le rĂ©sultat principal est que des dĂ©chets servent Ă  des fins utiles en substitution Ă  d'autres substances, matiĂšres ou produits qui auraient Ă©tĂ© utilisĂ©s Ă  une fin particuliĂšre, ou que des dĂ©chets soient prĂ©parĂ©s pour ĂȘtre utilisĂ©s Ă  cette fin, y compris par le producteur de dĂ©chets ;Elimination toute opĂ©ration qui n'est pas de la valorisation mĂȘme lorsque ladite opĂ©ration a comme consĂ©quence secondaire la rĂ©cupĂ©ration de substances, matiĂšres ou produits ou d' les dĂ©chets non dangereux biodĂ©gradables de jardin ou de parc, les dĂ©chets alimentaires ou de cuisine provenant des mĂ©nages, des bureaux, des restaurants, du commerce de gros, des cantines, des traiteurs ou des magasins de vente au dĂ©tail, ainsi que les dĂ©chets comparables provenant des usines de transformation de denrĂ©es alimentaires ; DĂ©chets alimentaires toutes les denrĂ©es alimentaires au sens de l'article 2 du rĂšglement CE n° 178/2002 du 28 janvier 2002 qui sont devenues des dĂ©chets ; Collecte sĂ©parĂ©e une collecte dans le cadre de laquelle un flux de dĂ©chets est conservĂ© sĂ©parĂ©ment en fonction de son type et de sa nature afin de faciliter un traitement spĂ©cifique. Cette collecte peut Ă©galement porter sur des dĂ©chets de type et nature diffĂ©rents tant que cela n'affecte pas leur capacitĂ© Ă  faire l'objet d'une prĂ©paration en vue de la rĂ©utilisation, d'un recyclage ou d'autres opĂ©rations de valorisation ; DĂ©chets de construction et de dĂ©molition les dĂ©chets produits par les activitĂ©s de construction et de dĂ©molition, y compris les activitĂ©s de rĂ©novation, des secteurs du bĂątiment et des travaux publics, y compris ceux produits par les mĂ©nages Ă  titre privĂ© ; Remblayage toute opĂ©ration de valorisation par laquelle des dĂ©chets appropriĂ©s non dangereux sont utilisĂ©s Ă  des fins de remise en Ă©tat dans des zones excavĂ©es ou, en ingĂ©nierie, pour des travaux d'amĂ©nagement paysager. Les dĂ©chets utilisĂ©s pour le remblayage doivent remplacer des matiĂšres qui ne sont pas des dĂ©chets, ĂȘtre adaptĂ©s aux fins mentionnĂ©es ci-dessus et limitĂ©s aux quantitĂ©s strictement nĂ©cessaires pour parvenir Ă  ces fins ; Tri l'ensemble des opĂ©rations rĂ©alisĂ©es sur des dĂ©chets qui permettent de sĂ©parer ces dĂ©chets des autres dĂ©chets et de les conserver sĂ©parĂ©ment, par catĂ©gories, en fonction de leur type et de leur nature ; Tri Ă  la source tri ayant lieu avant toute opĂ©ration de collecte, ou avant toute opĂ©ration de valorisation lorsque cette opĂ©ration de valorisation est effectuĂ©e sur le site de production des dĂ©chets ; Valorisation matiĂšre toute opĂ©ration de valorisation autre que la valorisation Ă©nergĂ©tique et le retraitement en matiĂšres destinĂ©es Ă  servir de combustible ou d'autre moyen de produire de l'Ă©nergie. Elle comprend notamment la prĂ©paration en vue de la rĂ©utilisation, le recyclage, le remblayage et d'autres formes de valorisation matiĂšre telles que le retraitement des dĂ©chets en matiĂšres premiĂšres secondaires Ă  des fins d'ingĂ©nierie dans les travaux de construction de routes et d'autres infrastructures. CritĂšresde l'examen au cas par cas 1. CaractĂ©ristiques des projets Les caractĂ©ristiques des projets doivent ĂȘtre considĂ©rĂ©es notamment par rapport : a) A la Aller au contenuAller au menuAller au menuAller Ă  la recherche Informations de mises Ă  jour Gestion des cookies Nous contacter Droit nationalen vigueur Constitution Constitution du 4 octobre 1958 DĂ©claration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 PrĂ©ambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Charte de l'environnement Codes Textes consolidĂ©s Jurisprudence Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative Jurisprudence judiciaire Jurisprudence financiĂšre Circulaires et instructions Accords collectifs Accords de branche et conventions collectives Accords d'entreprise Publicationsofficielles Bulletins officiels Bulletins officiels des conventions collectives Journal officiel DĂ©bats parlementaires Questions Ă©crites parlementaires Documents administratifs Autourde la loi Codification Rapports annuels de la Commission supĂ©rieure de codification Tables de concordance LĂ©gislatif et rĂ©glementaire Dossiers lĂ©gislatifs Etudes d'impact des lois Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, dĂ©crets et arrĂȘtĂ©s Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel AutoritĂ©s indĂ©pendantes AutoritĂ©s administratives indĂ©pendantes et autoritĂ©s publiques indĂ©pendantes relevant du statut gĂ©nĂ©ral dĂ©fini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 AutoritĂ©s ne relevant pas du statut gĂ©nĂ©ral des autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrĂ©e en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de lĂ©gistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union europĂ©enne Journal officiel de l'Union europĂ©enne Jurisprudence de l'Union EuropĂ©enne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales â€č Article prĂ©cĂ©dentArticle suivant â€șCode de l'environnementChronoLĂ©gi Article L537-1 - Code de l'environnement »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 21 septembre 2000Partie lĂ©gislative Articles L110-1 Ă  L713-9Livre V PrĂ©vention des pollutions, des risques et des nuisances Articles L501-1 Ă  L597-46Titre III Organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s Articles L531-1 Ă  L537-1Chapitre VII Dispositions diverses Article L537-1 Article L537-1 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Les modalitĂ©s d'application des chapitres III, V et VI du prĂ©sent titre sont fixĂ©es par dĂ©cret en Conseil d' en haut de la page×Cookies est le dĂ©pot de cookies pour accĂ©der Ă  cette fonctionnalitĂ© YiQ6UlY.
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